• l’année dernière
Depuis l'arrivée du système de chirurgie robotique CMR Surgical Versius, le chirurgien urologique Éric Potiron, qui exerce à la Clinique urologue de Nantes, l'a définitivement adopté. Ce nouvel équipement lui apparait comme une solution de référence en chirurgie robotique et une alternative performante et fiable face à la concurrence.

Robot de petite taille, avec un coût réduit, un accompagnement sur mesure, une formation complète et un travail d'équipe renforcé, Il nous présente aujourd'hui 5 atouts de ce robot.

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Transcription
00:00 Je suis utilisateur du système Versus Robotik.
00:02 Cela fait à peu près 4 mois que j'utilise ce système
00:04 et nous avons réalisé à peu près 100 à 110 procédures robotiques.
00:08 Sur un géobotique par prostatectomie radicale,
00:10 néphrectomie, néphro-urétérectomie, cystectomie et néphrectomie partielle.
00:15 Je vais vous présenter les 5 items qui me viennent aujourd'hui
00:18 principalement en tête par rapport à ce robot
00:20 et ce que ça a changé pour moi dans ma pratique.
00:21 [Musique]
00:37 Le robot Versus est vraiment un robot de petite taille
00:39 avec 4 bras modulables qui sont connectés au niveau d'une console externe.
00:42 Sa capacité à pouvoir être transportée est relativement intéressante.
00:45 Nous, dans notre chirurgie, avec nos 4 salles opératoires,
00:47 on peut basculer le robot de la salle 1 à la salle 4 sans aucune difficulté
00:51 et c'est vraiment appréciable.
00:52 Auparavant, c'était un gros module.
00:54 La console est ouverte et ça nous permet en plus d'intégrer
00:56 une discussion directe avec notre équipe,
00:59 notamment notre aide opératoire,
01:00 et de pouvoir interagir directement avec elle.
01:02 Le poids relativement faible de chacun des bras
01:04 n'a pas une nécessité d'adaptation spécifique au niveau du bloc
01:08 et peut être utilisé dans toutes les salles opératoires.
01:10 [Musique]
01:13 L'approche de CMR a été vraiment intéressante avec un petit côté disrupting.
01:16 On est parti sur un projet au long cours, sur 7 ans,
01:19 avec un coût par procédure et sur une durée,
01:21 ce qui nous a permis de faire baisser les prix
01:23 par rapport à nos nombres d'interventions programmées.
01:25 Deuxième intérêt, c'est surtout qu'au-delà d'un certain nombre d'interventions,
01:28 les coûts diminuent de moitié,
01:29 ce qui permet à notre équipe de pouvoir potentiellement
01:31 augmenter nos nombres d'interventions par an.
01:33 Aujourd'hui, on est basé sur un nombre de procédures
01:34 d'environ 200 à 250 chirurgies robotiques par an.
01:37 Et avec l'intégration de nos nouveaux urologues,
01:39 on devrait pouvoir réaliser environ 280 à 300 procédures d'ici 2025.
01:43 [Musique]
01:47 Pour rien ne vous cacher, je ne suis pas du tout un businessman.
01:49 J'avais été référent la dernière fois lors de l'achat des derniers robots
01:52 et du traitement par ultrasons,
01:53 et j'avais trouvé ça extrêmement compliqué,
01:55 notamment avec les liseurs et les bailleurs,
01:57 un système que je ne connais pas et que je ne comprends pas.
01:58 Avec CMR, ça a été relativement simple
02:00 et ça nous a mis assez en confiance, assez rapidement.
02:02 Avec cette proposition, ils ont été assez réactifs
02:05 pour nous aider, pour nous conseiller par rapport à ça.
02:07 J'ai voulu le contrat qu'on a signé avec eux sur 7 ans,
02:09 avec un engagement ferme sur un certain nombre de procédures,
02:12 ce qui simplifie beaucoup l'idée de cet achat.
02:15 Notamment, on n'a pas de notion de sortie
02:17 comme on pourrait avoir en fin de leasing, fin de baille.
02:19 Parfois, on a des surprises.
02:21 Là, aujourd'hui, tout est carré.
02:22 [Musique]
02:25 C'était assez réticent l'idée de me former avec ce robot.
02:27 Pour moi, je suis chirurgien robotique depuis de nombreuses années,
02:30 donc c'est vrai que ça ne m'intéressait pas trop.
02:31 Et du coup, en arrivant un peu reculant,
02:33 j'ai compris que c'était un nouveau robot.
02:34 Ça allait être un peu plus difficile que ce que j'avais imaginé
02:37 et l'équipe de CMR a été vraiment parfaite.
02:39 La première partie de la formation a été sur site,
02:41 où là, on a commencé à utiliser les bras, les alarmes et tout,
02:45 tout le fonctionnement.
02:46 Et la deuxième partie qui a vraiment été intéressante,
02:47 c'est l'accompagnement qu'on a eu, notamment à l'IRCAD,
02:50 où là, avec notre aide opératoire et les autres membres de mon équipe,
02:53 on a pu utiliser le CMR sur un pelvis trainer,
02:55 au décours d'une chirurgie sur un sujet anatomique et sur un mannequin.
02:59 On a aussi pu avoir un casque de réalité virtuelle
03:01 et au final, ça nous a vraiment permis, durant cette formation,
03:05 de savoir qu'on arriverait à faire de la chirurgie robotique
03:08 à un niveau d'expertise suffisant.
03:10 C'est différent, il faut le savoir, il faut le reconnaître.
03:12 C'est un nouveau robot, ça change complètement,
03:14 mais je ne le regrette pas. Quand je vois les suites opératoires
03:17 qu'on a aujourd'hui, aucun regret sur cette chirurgie.
03:19 Un des points très importants dans ce projet, c'est vraiment le travail d'équipe.
03:25 C'était un nouveau challenge de commencer avec cette chirurgie robotique.
03:27 Nouveau élément d'instrument, nouveau matos, nouvelle pince,
03:30 tout était nouveau et il a fallu mettre en confiance notre équipe
03:33 et CMR a pu les accompagner lors des formations.
03:36 C'était une formation complète et on a senti autour de ce projet
03:38 une véritable adhésion de l'ensemble de notre équipe.
03:40 Je ne vais pas dire le terme "team building", ça fait un peu trop,
03:42 mais c'est quasiment ça, une vraie participation à l'équipe
03:45 qui aujourd'hui manipule ce projet.
03:46 Est-ce que je recommande Versus ? Clairement oui.
03:48 Aujourd'hui, c'est un changement complet.
03:51 On attendait ces nouveaux robots depuis quelques années.
03:53 Il y avait un monopole qui aujourd'hui, pour moi, est terminé.
03:56 Il y a un changement pour moi aujourd'hui, c'est Versus.
03:57 Aux autres, de faire mieux.
03:58 [Musique]

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