Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 06/02/2025.
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00:00:00C'est l'équipe du soir, bonsoir à tous et bienvenue au Barça qualifié dans un fauteuil
00:00:22contre Valence.
00:00:23Le Barça qui est la bête noire de Valence, 7-1-1 il y a 15 jours à peu près en championnat,
00:00:28ce soir 5-0 donc vous faites les comptes, l'addition est rude.
00:00:31Barça qualifié pour le dernier carré de la Coupe d'Espagne, tout comme la Real Sociedad
00:00:36ce soir qui a gagné le derby basque contre Sassouna, puis hier auparavant le Real Madrid
00:00:41s'est qualifié et l'Atletico de Madrid.
00:00:44D'ailleurs il y a des choses à dire sur les clubs madrilens qui se retrouvent samedi,
00:00:48quelques échos en coulisses sur cet avant match qui est plutôt savoureux.
00:00:50Les amis, il est temps pour moi de vous présenter le casting royal de l'équipe du soir, la
00:00:55présidente c'est Karine Galli, bonsoir Karine, bonsoir Mémé, bonsoir Alex, présentation
00:01:01donc expresse, elle est fidèle à la régie car nous prenons un petit peu tard, il est
00:01:04vrai, c'est cette Coupe d'Espagne, Benjamin Corrèze-Etienne Moatti, Grégory Schneider
00:01:09et Nabil Jellit, le ville-peuple bonsoir, bonsoir Mémé, bonsoir à tous, l'orchestre
00:01:16n'est pas aussi bien accordé.
00:01:17Les lamounios comment les infos ce soir, bonsoir Alina, 5 buts du Barça passés à Valence,
00:01:25le résumé de ce quart de finale, c'est à vous de jouer.
00:01:27Dès le début du match, les Catalans annoncent la couleur baldé, superbe passe en profondeur
00:01:33pour Torres et l'Espagnol ne célèbre pas son but, pour rappel il a joué à Valence,
00:01:39avait remporté la Coupe d'Espagne avec cette équipe, on voit d'ailleurs son message pour
00:01:43les victimes des inondations.
00:01:44Derrière Rafinha côté droit, Yamal sur le poteau et le ballon revient dans les pieds
00:01:53de Torres pour le doubler.
00:01:55D'abord signalé hors jeu, le but est bel et bien validé, 2-0 pour Barcelone.
00:02:00A la 22ème minute, la passe magnifique de Pedri, contrôle parfait de Lopez pour tromper
00:02:10le gardien.
00:02:11On en pense quoi Nabil de cette action ?
00:02:19On prend du plaisir, la finition est parfaite, à saluer également le retour défensif mais
00:02:27insuffisant.
00:02:28Et le festival continue, celui du Barça et celui de Torres triplé de l'ancien joueur
00:02:32de Valence, 4-0 à la mi-temps, on va revoir cette action avec ce ralenti.
00:02:37A l'heure de jeu, Rafinha fixe et Yamal d'une frappe du gauche.
00:02:45Score final 5-0 pour Barcelone, le Barça rejoint l'Atletico de Madrid, le Real Madrid
00:02:51et la Real Sociedad en demi-finale.
00:02:53Et pour rappel, lors de ces demi-finales, il y aura un match aller-retour.
00:02:5725 février, match aller, 2 avril, donc match retour.
00:03:01Vous retenez quoi de cette partie, la balade de santé ?
00:03:03A la fin de la première mi-temps, c'était réglé, possession constante.
00:03:08De toute façon, c'est plus Valence, mais là c'est une ambulance.
00:03:13Valence est peut-être plus Valence, mais le Barça est en train de redevenir le très
00:03:16grand Barça, parce qu'autant ils peuvent avoir des trous de temps en temps sur certains
00:03:20matchs.
00:03:21On n'a pas de défense.
00:03:22Le niveau qu'ils peuvent atteindre, c'est un niveau exceptionnel.
00:03:25Ils mettent des raclées au Real sur des matchs à haute intensité, ils mettent des raclées
00:03:29à Valence.
00:03:30Le niveau offensif de cette équipe et le fond de jeu qu'ils ont retrouvé, c'est quand même
00:03:35vraiment fort.
00:03:36La Coupe d'Espagne, il y aura les demi-finales qui nous font un peu saliver, parce qu'on
00:03:40va glisser dans quelques minutes du côté de la Coupe de France.
00:03:43Tous les gros sont là.
00:03:44On a le Barça, on a le Real, on a l'Atletico de Madrid, puis il y a toujours un club basque
00:03:47qui s'y mêle.
00:03:48Généralement, c'est Bilbao, là c'est la Real Sociedad.
00:03:51Sur le niveau de jeu du Barça, Etienne a impressionné.
00:03:55Vous, j'ai l'impression que c'est le niveau de Valence qui vous sidère, Grégory.
00:03:59Vous ne savez pas du tout.
00:04:00C'est vrai, j'ai trouvé qu'il y a des écarts que j'ai du mal à expliquer.
00:04:03C'était pareil pour le match de mardi.
00:04:05On voit quand même des différences assez phénoménales.
00:04:10J'ai l'impression de retrouver quelque chose du championnat de Ligue 1, où tu as l'impression
00:04:14qu'il y a quelques équipes qui ne sont plus invitées ou qui ne jouent plus le même championnat
00:04:18que les autres.
00:04:19Le Barça, tu croyais que ça ressemblait à une équipe de Ligue 1 aussi ?
00:04:21Non, ce serait une grosse équipe.
00:04:23C'est l'écart entre les équipes qui me fascinent et qui m'inquiète un peu aussi.
00:04:28Est-ce qu'il y a une vraie hiérarchie en Espagne ?
00:04:30Les forces sont très fortes.
00:04:31Mais en fait, on a l'impression, pour aller au bout du raisonnement, que tôt ou tard,
00:04:36on va prendre ces équipes-là, on va les mettre dans un championnat européen qui existe.
00:04:39D'ailleurs, déjà, puisque c'est la poule de Ligue des Champions qui en prend 36 et
00:04:42qu'on laissera les autres faire mûmuse entre eux.
00:04:43C'est Christophe Pellissier, l'entraîneur d'Auxerre, qui m'a dit qu'on y allait tout
00:04:47droit.
00:04:48Il est dans les projets de Super Ligue ?
00:04:52Non, mais il se dit qu'à un moment donné, ça n'a plus de sens de voir une équipe qui
00:04:56en prend 7.
00:04:57Mais Greg, c'est bon, sur ce rachat-là, tu peux avoir ce que tu veux.
00:05:00Il y a toujours eu le Real et le Barça qui ont dominé la Ligue 1.
00:05:01Ça n'a jamais empêché le championnat d'Espagne d'être un très grand championnat et d'être
00:05:04intéressant.
00:05:05Non, franchement, une réflexion comme si c'était inéluctable, non, ça ne l'est pas.
00:05:08Comme tu le dis, il y a une Ligue des Champions, de toute manière, d'ailleurs où le Barça
00:05:11est déjà qualifié pour les huitièmes de finale, où il y a de très beaux matchs et
00:05:16il y a une épreuve disputée, justement, avec des équipes plus petites qui se mêlent
00:05:20à la lutte.
00:05:21Je ne suis pas du tout d'accord avec Greg, mais j'espère pouvoir...
00:05:24Je vais monter un petit peu en gamme, moi, je n'ai pas d'avis.
00:05:27N'hésite pas à essayer de monter en gamme, ça fera du bien à l'émission.
00:05:30Je ne suis pas simple commentateur, je vais juste voir des mecs sur le terrain qui racontent
00:05:33ce qu'ils parlent de nous.
00:05:36Alors que nous, avec Nabil, on va au bistrot, on boit des coups et on dit n'importe quoi.
00:05:42Si vous pensez qu'il n'y a pas ce danger-là...
00:05:44Non, mais Greg, on ne te dit pas qu'il n'y a pas de danger, mais là, en l'occurrence,
00:05:47tu as une équipe B alignée par Valence, parce qu'ils essayent de se maintenir en Liga et
00:05:52que c'est la catastrophe et que ça fait des années que c'est la guerre entre les supporters
00:05:55et le propriétaire, donc qu'il y ait une différence entre certains gros et des petits,
00:05:59je veux bien, mais ce n'est pas un très bon exemple, sachant que là, en fait, Valence
00:06:02n'a même pas joué le match, en fait.
00:06:04C'est juste de se sauver en Liga et les problèmes sont bien plus graves qu'une force énorme
00:06:10comme Barca.
00:06:11Le problème de Valence, c'est notamment son propriétaire et la guerre qui dure depuis
00:06:14des années.
00:06:15Le Atlético-Madrid-Guettafay, ça fait le même goût.
00:06:17Il y a 48 heures, ça fait le même goût.
00:06:18Donc on va me dire, ouais, mais il y a Valence, il y a Guettafay, il y a machin.
00:06:20Là, tu as les trois bastodontes qui se sont mis une fois de plus.
00:06:22Voilà, c'est tout ce que je dis.
00:06:23C'est le propre de plusieurs gros championnats et à l'Espagne, ce qui est bien, c'est qu'en
00:06:29fait, il y a toujours un 2 plus 1 ou un 2 plus 2.
00:06:33Tu as toujours le Barça, le Real, l'Atlético en troisième homme ou en troisième équipe
00:06:36qui est là.
00:06:37Et Valence, il y a quelques décennies presque, j'exagère, ils travaillaient bien.
00:06:41Ils étaient souvent les quatre premiers.
00:06:43Leur modèle économique, ça a été n'importe quoi.
00:06:45Ils ont commencé à faire du trading et tout avec leur propriétaire.
00:06:48Je ne sais plus d'où il était.
00:06:50Je me souviens d'un truc.
00:06:52Et puis, il y a un agent qui a commencé à faire l'appui et le beau temps dans le club
00:06:55qui était un directeur sportif officieux.
00:07:00Je ne suis pas là pour citer des noms.
00:07:03Je peux faire agent avec mon style, ça je veux bien l'entendre.
00:07:06Mais donner des noms d'agent, ce n'est pas mon truc.
00:07:08Plus sérieusement, je ne suis pas très courageux et avec le temps, de moins en moins.
00:07:15Tu es devenu lucide.
00:07:17Je ne suis pas d'accord avec Greg.
00:07:19En fait, il y a eu un moment, un petit déclin.
00:07:21La dualité Barça-Real, elle a un peu baissé parce que le Barça a perdu pied.
00:07:24Economiquement, ils ont aussi perdu pied.
00:07:26Mais ils repartent effectivement comme le dit Etienne.
00:07:28Ça devient une équipe spectaculaire, un blockbuster.
00:07:30Tu viens avec ton popcorn, tu es content de les regarder.
00:07:33Mais il y a des équipes qui travaillent bien en Espagne.
00:07:35La Real Sociedad, Bilbao qui ont pris un peu la place de Séville, de Valence.
00:07:41Évoquer la Super Ligue ce soir, quand on a vu ce qu'a donné cette formule de Ligue des Champions.
00:07:46Franchement, à laquelle on ne croyait pas beaucoup.
00:07:48Et moi le premier.
00:07:49Et quand on voit le spectacle qu'il y a eu.
00:07:51Quand on voit le suspens qu'il y a pu avoir jusqu'à la dernière journée.
00:07:54Et des équipes moyennes qui se mêlent à la lutte.
00:07:56On peut dire que Lille est déjà qualifiée pour les huitièmes de finale.
00:08:01Je trouve que ça vient totalement contre ce que tu es en train de dire Grégory.
00:08:04Oui, mais parfois Grégory est à contre-courant.
00:08:06Ce n'est pas parce qu'on est à contre-courant.
00:08:08Mais on l'aime quand même.
00:08:22Dans quelques minutes, mes amis, Greg va enfin commencer sa saison.
00:08:26Real Sociedad, justement, Nabil vous en avez parlé.
00:08:29Real Sociedad goûte aux demi-finales.
00:08:31Choc ou derby basque ce soir.
00:08:33Remporté contre Sassoula 2-0.
00:08:34Les images avec vous Léna.
00:08:35On a vu de très belles choses pendant cette rencontre.
00:08:38A commencer par un but de Barreneccia.
00:08:41Magnifique contrôle orienté.
00:08:46Et dix minutes plus tard, sur une mésentente entre le gardien et Munoz.
00:08:56Il est magnifique.
00:08:57Petite combinaison.
00:08:58Les deux petites souris sont fantastiques.
00:09:00On a les droits.
00:09:01Et dix minutes plus tard, sur une mésentente entre le gardien et Munoz.
00:09:04Mendes en profite.
00:09:05Score final 2-0.
00:09:06La Real Sociedad qualifiée dans le dernier carré avec l'Atletico Madrid.
00:09:10Le Real et le Barça.
00:09:11Tirage au sort, vous l'avez dit mémé.
00:09:13Mercredi prochain.
00:09:15Oui, c'est ça.
00:09:16Cette semaine en Espagne a été traversée par une polémique.
00:09:19Vous savez, samedi dernier, il y a eu ce fameux match.
00:09:22Real qui va à l'Espagnol, Barcelone.
00:09:24Il y a un carton rouge qui aura dû être mis.
00:09:26Sur une grosse semelle sur laquelle il ne bat pas.
00:09:29C'est le buteur derrière.
00:09:31Le Real active un communiqué lundi.
00:09:34Juste un petit extrait.
00:09:36Ce n'est pas du balzac, mais c'est plutôt rigolo.
00:09:39C'est l'apogée d'un système arbitral complètement discrédité.
00:09:42Dans lequel les décisions contre le Real Madrid ont atteint un niveau de manipulation
00:09:45et de falsification de la compétition qui ne peut plus être ignorée.
00:09:48A chaque fois, ça fait marrer les copains.
00:09:50Parce qu'on a eu beaucoup de matchs du Real
00:09:53où les décisions arbitrales étaient plutôt...
00:09:58La Teltico de Madrid, prochain adversaire du Real.
00:10:01C'est samedi.
00:10:02S'amuse à faire monter un peu la pression.
00:10:04Comment réussir son derby madrilène ?
00:10:06Sous la forme d'un petit truc, d'une petite notice Ikea de bricolage.
00:10:10Comment réussir ?
00:10:121. Entretien des terrains.
00:10:132. Des tests de lumière.
00:10:153. Préparation des vestiaires.
00:10:174. C'est souvent le dernier indice qui est le plus sympa.
00:10:205. Utiliser ton armée de journalistes amis pour diffuser tes délires.
00:10:23Avec une photo d'une une rapportant un scandale mondial d'arbitrage.
00:10:29C'est plutôt match 21h je crois samedi entre le Real et la Teltico de Madrid.
00:10:34C'est assez vrai.
00:10:35Le Real Madrid conditionne l'arbitrage.
00:10:37Littéralement, ils ont raison.
00:10:38La Teltico de Madrid a raison.
00:10:39Tu conditionnes l'arbitrage.
00:10:40On connait ça.
00:10:42J'ai vu Jean-Michel Aulas le faire pendant des années.
00:10:44Il n'y a pas que lui.
00:10:45Ça fait partie des outils presque.
00:10:47Là où c'était un peu gênant,
00:10:48c'est qu'ils ont été battus par une équipe qui était 17ème.
00:10:50Et venir se cacher.
00:10:52La ficelle, on la connaît.
00:10:54C'est un peu les champions de la victimisation.
00:10:56C'est le concours à chaque fois.
00:10:58Et puis masquer peut-être d'autres lacunes.
00:11:02Notamment défensive du côté du Real.
00:11:05Mais faire un communiqué.
00:11:06Parce qu'on a été battu par l'Espagnol Barcelone.
00:11:09On revient sur une faute d'arbitrage.
00:11:11Une faute.
00:11:12Elle a quand même été sanctionnée.
00:11:13Il y a eu un carton jaune.
00:11:15Non mais je ne dis pas que...
00:11:16C'est rouge.
00:11:18C'est pas un mémé ?
00:11:19Non c'est rouge.
00:11:20Et alors à Monaco au PSG, il y a eu une erreur d'arbitrage.
00:11:23Et ça peut empêcher le PSG de battre au Monaco.
00:11:25Non mais d'accord.
00:11:27Ça a été dit dans le lancement.
00:11:29S'il y a un club au monde dont on n'imaginait pas
00:11:31qu'il allait prendre ce biais-là pour expliquer une défaite.
00:11:34C'est-à-dire d'être victime d'un complot de l'arbitrage.
00:11:37C'est franchement le réel.
00:11:38Ça fait sourire tout le monde.
00:11:39En Espagne, ici, en France et à peu près partout.
00:11:41Et même Ancelotti qui n'est pas habitué à ça.
00:11:43Moi j'ai été étonné.
00:11:44En conférence de presse, il a passé son temps sur cette histoire d'arbitrage.
00:11:48Bon, on passe en Coupe de France mes amis.
00:11:50On quitte la Coupe du Roi.
00:11:51On quitte le monde de l'Espagne.
00:11:52On quitte la Super Ligue à l'avenir.
00:11:54Le dernier quart de finale donc ce soir de Coupe de France.
00:11:57Bourgouin, le petit pousset.
00:11:59Enfin le huitième pardon.
00:12:00Bourgouin, le petit pousset.
00:12:02Accueillez Reims.
00:12:03Score finale 0-0.
00:12:04Tous ces jeux au tir au but.
00:12:05C'est rien ce qui est passé.
00:12:06Mais vous allez nous raconter tout ça Léna.
00:12:07Je vais essayer parce que c'était une séance de tir au but riche en émotions.
00:12:11On va regarder tous ensemble.
00:12:13C'est tout d'abord Bourgouin qui réussit son premier tir au but.
00:12:18Et derrière, Diakité rate.
00:12:21Le petit pousset peut commencer à rêver.
00:12:23Alexandre Oliero, le gardien de Reims, est impériable.
00:12:26Trois arrêts.
00:12:30Attik maintient Bourgouin en vie avant que Hakimé envoie définitivement Reims en quarts de finale de la Coupe de France.
00:12:38Score finale.
00:12:39Trois tirs au but.
00:12:42C'est le petit pousset qui tombe ce soir.
00:12:44Est-ce que vous avez une réaction ?
00:12:45Ce n'est pas très moral.
00:12:46Sur le match qu'on a vu.
00:12:47Parce que cinq divisions d'écart, tu es quand même censé faire respecter quelque chose.
00:12:50Si c'est une ou deux, on peut se dire en face.
00:12:52Nous, on n'a pas de risque d'être superlis.
00:12:54Mais là, ce n'est pas très moral qu'il s'en soit sorti comme ça.
00:12:58Parce que toute la dernière demi-heure, elle est plutôt du côté bergalien.
00:13:01C'est plutôt les bergaliens qui posent...
00:13:03C'est à l'image des dernières semaines.
00:13:04Le voilà, Benjamin Coires.
00:13:06Le bonjour masqué.
00:13:08Je suis arrivé un peu à la bourre.
00:13:09C'est vrai ?
00:13:11C'est pour ça que tu n'as pas mis ta veste.
00:13:13Depuis le début, depuis le tournoi, 13 matchs.
00:13:15Ils ont gagné une fois.
00:13:16Stade de Reims vient de libérer son coach.
00:13:17On est quand même dans une situation très compliquée pour ce club depuis plusieurs semaines.
00:13:20Ce n'est pas surprenant qu'on les voit en difficulté.
00:13:22Alors oui, je suis d'accord avec toi.
00:13:23C'est un jeu où tu joues contre l'UN3.
00:13:25Mais qui est revigoré aussi par son succès contre l'Olympique Lyonnais il y a trois semaines.
00:13:28Premier de son championnat.
00:13:29Qui a vu aussi les performances des autres petits ces derniers temps.
00:13:32Et qui se dit que c'est possible.
00:13:33Donc là, j'ai l'impression qu'il y a aussi quelque chose.
00:13:35Une croyance dans cette coupe pour les petits.
00:13:38Qui est assez remarquable.
00:13:40Et puis, il faut effectivement reconnaître le match de Bourgoin.
00:13:43Qui était très solide.
00:13:44Jimmy Niarlo, leur capitaine.
00:13:46Moi, j'étais assez bluffé en Defcentral.
00:13:48Il a été le vrai leader.
00:13:49Il était royal.
00:13:50Mais bon, effectivement, ce n'est pas bien rassurant pour le stade de Reims.
00:13:52Tu as raison.
00:13:53Pardon, mais Reims, à la particulière, étant en Ligue 1.
00:13:55Il est une équipe qui va à la mailloche.
00:13:57Qui est physique.
00:13:58Enfin, c'est derrière soi.
00:14:00Plus le match avançait contre une N3.
00:14:03Plus j'ai l'impression que...
00:14:04Si tu considères que tu dois pouvoir dominer physiquement des équipes de division inférieure.
00:14:08Tu te trompes complètement.
00:14:10Parce que physiquement, c'est des équipes qui tiennent la route.
00:14:12Qui tiennent le choc.
00:14:13Et tu ne les domines jamais vraiment physiquement.
00:14:15Donc, la domination d'une équipe supérieure.
00:14:17Elle doit passer par la technique.
00:14:19Par le jeu collectif.
00:14:20Et pour le coup, de ce point de vue-là.
00:14:21Reims, il y a des manques.
00:14:23C'est une victoire aux Guamers aussi.
00:14:24Parce que c'est perdu leur nouvel recrut.
00:14:26Jean-Dix est bâtcheuse ce soir.
00:14:27Il s'est peut-être blessé.
00:14:29Oui, gravement.
00:14:30On peut diagnostiquer l'intensité de la blessure.
00:14:33Oui, c'est possible.
00:14:34Et pour le coup, il est arrivé il y a trois jours.
00:14:35C'était un peu le recrut phare du Mercador et moi.
00:14:37C'est censé marquer les buts.
00:14:38Qu'ils n'arrivent pas à mettre un semaine.
00:14:39Ils le perdent ce soir.
00:14:40Sachant que ce n'est pas un joueur qui a mis des wagons de buts.
00:14:42Où qu'il a été non plus.
00:14:43Et ils ont largué Munetzi et Agbano.
00:14:46Les deux principales valeurs.
00:14:48Dans quelques minutes, on aura Sofia Latik.
00:14:50Joueur de Bourgoin-Jayeux.
00:14:52Dont on avait fait la connaissance après l'exploit de Bourgoin-Jayeux contre Lyon.
00:14:56On se prépare.
00:14:57On se connecte.
00:14:58Et puis, tout va bien.
00:14:59Mes amis, il y a eu un tirage au sort ce soir des quarts de finale.
00:15:02C'est Reims qui passe et qui affrontera Angers.
00:15:04Au stade, Raymond Copa.
00:15:05Raymond Copa a joué dans les deux clubs.
00:15:07Et le scot d'Angers et Reims.
00:15:09Autre affiche, Cannes.
00:15:11Qui est désormais l'un des petits poussets contre Guingamp.
00:15:14Club de Ligue 2.
00:15:15Saint-Brieuc.
00:15:16Ça, on en parlera dans quelques secondes.
00:15:18Qui avait affronté le Paris Saint-Germain.
00:15:21On va y revenir.
00:15:22Et puis, Brest.
00:15:23Club de Ligue 1.
00:15:24Affronte, on va dire, un épouvantail.
00:15:25Qui est Dunkerque.
00:15:26Club de Ligue 2.
00:15:27Qui a sorti cette semaine le club de Lille.
00:15:29Hier, vous avez peut-être veillé tard.
00:15:32On a découvert un capitaine fantastique.
00:15:35Il a un nom de star hollywoodienne.
00:15:37Il s'appelle James Lemaireur.
00:15:39Capitaine depuis 10 ans du stade Brioche à le Saint-Brieuc.
00:15:43Vous êtes où ?
00:15:45Vous êtes chez vous ?
00:15:47Vous êtes à la clinique ?
00:15:48Vous êtes où ?
00:15:49Bonsoir James.
00:15:50Je suis au Magnifique.
00:15:51J'ai suivi les conseils d'hier soir.
00:15:53C'est vrai ?
00:15:54L'une des lignes ?
00:15:55Non, non.
00:15:56Je suis chez vous.
00:15:57D'accord.
00:15:58Ça nous a marqué.
00:15:59Nous aussi, ça nous a marqué.
00:16:01Hier, on était en train de discuter.
00:16:03Toujours des traditionnelles questions.
00:16:05Vous aimeriez affronter qui au prochain tour ?
00:16:08Et vous m'avez dit spontanément.
00:16:10Ce n'était pas le PSG.
00:16:11Vous m'avez dit Guingamp.
00:16:12Parce que c'est le derby.
00:16:13Il y a à peu près 20 minutes.
00:16:15Une demi-heure de voiture pour aller les deux villes.
00:16:18Vous touchez le gros lot, le PSG.
00:16:20Est-ce que vous êtes déçu ?
00:16:23Non, non.
00:16:24On n'est pas déçu.
00:16:25On ne va pas faire la fine bouche.
00:16:26C'est vrai que depuis 24 heures, on est sur un petit nuage.
00:16:31Entre le match d'hier soir, plus le tirage où on joue le PSG.
00:16:36Franchement, c'est incroyable.
00:16:38Ce qu'on vit, c'est juste incroyable.
00:16:40On sait qu'hier soir, il était aux alentours de 1h du matin.
00:16:43Qu'est-ce qu'a donné la nuit ?
00:16:45Qu'est-ce qu'a donné la journée ?
00:16:46Est-ce qu'on est un peu flottant ?
00:16:48Est-ce qu'on est un peu sur un petit nuage ?
00:16:52On s'est couché, il devait être 7h je pense.
00:16:55On avait ses séances à midi.
00:16:57Ça a été une petite séance de la part du groupe.
00:17:00À part ceux qui n'avaient pas beaucoup joué.
00:17:02Et puis l'après-midi, ça a été sieste avec les enfants.
00:17:05Parce qu'il fallait un peu récupérer de la soirée.
00:17:08D'accord.
00:17:09Vous êtes aussi éducateur et entraîneur des U16.
00:17:12Hier, vous ne croyez pas trop à la séance.
00:17:15Donc la séance n'a pas eu lieu.
00:17:16Autre petit détail qu'on a appris hier.
00:17:18Vous avez dormi dans le cabanon ou pas ?
00:17:20À côté du foyer ou pas ?
00:17:21Parce que maintenant, on connaît parfaitement votre club.
00:17:24Non, non.
00:17:25J'ai laissé la place à Chris Carbrat.
00:17:26C'est son lieu après les matchs de Coupe de France.
00:17:29Ok.
00:17:30Très bien.
00:17:31On respecte les trucs.
00:17:32Le match se jouera où ?
00:17:33Contre le Paris Saint-Germain.
00:17:34Est-ce que ça se jouera dans le stade de Saint-Brieuc ?
00:17:36Ou une délocalisation dans un plus grand stade
00:17:39pour avoir une meilleure recette ?
00:17:40Est-ce que c'est possible ?
00:17:42Ce qui est sûr, c'est qu'on ne jouera pas chez nous à Fredobert.
00:17:45Donc soit ça sera au Roudourou ou soit au Rosenpark à Rennes.
00:17:49Sachant que nous, on est club partenaire avec Rennes.
00:17:52Donc à voir.
00:17:53Je ne sais pas du tout.
00:17:54Je sais que le coach président devait voir ça demain.
00:17:57Ils ont une réunion pour savoir où on va jouer.
00:17:59Mais c'est les deux possibilités.
00:18:01Au Rosenpark, c'est…
00:18:03Benjamin ?
00:18:04Le stade est libre.
00:18:0530 000 ?
00:18:06Un peu moins ?
00:18:07C'est à peu près 30 000.
00:18:08Un peu moins ?
00:18:09Un petit peu moins.
00:18:11Greg ?
00:18:12On a vu que les équipes de Ligue 1 ont quand même beaucoup souffert.
00:18:16Est-ce que pour vous, c'est une tendance générale qui s'explique par quelque chose ?
00:18:20Ou c'est circonstancié ?
00:18:21Selon les clubs, il n'y a pas vraiment de règle ?
00:18:25Après, nous, on a vu la différence déjà entre Le Havre et Nice.
00:18:28Il y avait vraiment une grosse différence de niveau, j'ai trouvé.
00:18:31Après, franchement, hier, le scénario est cruel pour eux.
00:18:35Parce qu'avant notre premier but, on n'a pas fait une seule frappe.
00:18:38Donc, c'est vrai que je trouve qu'ils ont vraiment joué le jeu.
00:18:41Donc, je pense qu'hier, on a vraiment réalisé un exploit et un hold-up sur le match contre Nice.
00:18:48C'est marrant, je rebondis sur ce que vous dites.
00:18:50Il y a une grosse différence quand on est joueur, quand on joue contre Le Havre et contre Nice.
00:18:54C'est quoi finalement ?
00:18:55Ça va plus vite ?
00:18:56Il y a quoi comme différence ?
00:19:00Physiquement, déjà, je trouve qu'ils étaient plus impressionnants, Nice.
00:19:04Après, même techniquement, les deux joueurs offensifs, que ce soit Shaw ou bien Diop,
00:19:09c'était vraiment d'un autre calibre par rapport à ce qu'on avait pu déjà jouer.
00:19:13Donc, c'est vrai qu'on se l'est dit à la mi-temps que c'était une autre marche par rapport à Nice et Le Havre,
00:19:19qu'on avait déjà pu jouer avant.
00:19:21James Semaror, l'actualité, c'est Saint-Brieuc qui continue son parcours en Coupe de France.
00:19:25Saint-Brieuc touche le Gros Lot, le Pactole, c'est le Paris Saint-Germain.
00:19:29Quel joueur redoutez-vous le plus ?
00:19:31Qui revenait après le tirage au sort ?
00:19:33Dicky, Dembélé, Doué, Varaskelia ?
00:19:40Déjà, je me fais pas mal chambrer parce que tout le monde a peur que je sois sur les réseaux avec Barcola après le match.
00:19:50Désirer Doué, la petite anecdote, c'est que j'ai coaché contre lui quand j'avais les U11.
00:19:56Ça va être cool.
00:19:58Franchement, vu les stars qu'il y a en face, c'est que du plus, que du bonheur.
00:20:02Comme on a dit, c'est notre finale un petit peu avant l'heure.
00:20:05On a 1% de chance de passer.
00:20:07On va essayer de la saisir.
00:20:09Je n'ai pas bien compris l'allusion avec Barcola et tout ça sur les réseaux.
00:20:13C'est quoi ? Je ne suis pas au courant de l'histoire ou je n'ai pas compris ?
00:20:17Si je me fais dribbler.
00:20:19Que je ne finisse pas sur les réseaux.
00:20:23Vous êtes en quart de finale, James.
00:20:27Blanc bas, tu montes pas surtout.
00:20:29Etienne réfléchit à une question.
00:20:31Je crois qu'il va trouver cette question.
00:20:33Etienne Moity, James Le Marreur, c'est à vous de jouer.
00:20:35C'est une question financière, ça me ressemble bien.
00:20:37Avec la moitié de la recette que va vous laisser le Paris Saint-Germain,
00:20:39vous allez faire quoi ? Vous allez vous payer quoi ?
00:20:43Déjà, celle-là va appartenir au club.
00:20:45Je crois qu'ils sont partis dans l'idée de financer des véhicules pour les jeunes.
00:20:49Après, nous, les joueurs, la partie qu'on a vue avec le club,
00:20:54on a un week-end de fin de saison.
00:20:56On va se faire plaisir sur ce week-end de fin de saison tous ensemble.
00:21:01Il y a une destination qu'ils commencent à prendre ou pas ?
00:21:04Saint-Brieuc ?
00:21:05Ou c'est secret, ou c'est machin ?
00:21:09On est partis à Mallorque l'année dernière.
00:21:11Ça s'est très bien passé.
00:21:12On s'est dit pourquoi pas faire un retour à Mallorque ou bien à Barcelone.
00:21:16En tout cas, ce serait une destination soleil.
00:21:19Je pensais qu'il y allait y avoir une belle fête dans l'un des établissements nocturnes
00:21:22qu'on a découvert hier du côté de Saint-Brieuc.
00:21:24Mais ce n'est pas le cas.
00:21:25James Marreur, merci beaucoup.
00:21:27On a un ami à Saint-Brieuc et c'est vous, James Marreur.
00:21:30Vous nous avez pris par la main pour nous expliquer votre exploit, votre épopée.
00:21:36On croise les doigts pour vous.
00:21:38Est-ce que je peux faire juste une petite promotion ?
00:21:40Bien sûr, bien sûr, James.
00:21:42On organise un loto le 6 avril avec les joueurs pour le club.
00:21:46C'est avec plaisir qu'on vous invite le dimanche 6 avril à venir à notre loto.
00:21:50Il y a une voiture à gagner.
00:21:51Il y a des beaux lots.
00:21:53On pourra partir avec la voiture pour rentrer.
00:21:55Le loto, c'est pour payer les cocktails en boîte de nuit.
00:22:00J'espère que le tenancier, on lui a fait de la pub,
00:22:02il va vous offrir notre petite consommation.
00:22:04Mais évidemment, avec modération, c'est ce qu'il faut dire.
00:22:06James, merci beaucoup.
00:22:08On vous embrasse et on vous souhaite bon courant pour la suite de cette compétition
00:22:10puis la suite de vos saisons.
00:22:12Bravo.
00:22:13Et bravo.
00:22:14Merci beaucoup, James.
00:22:16Paris Saint-Germain sans Mbappé.
00:22:17Louis Sénriquet est en conférence aujourd'hui, à la veille du match de Ligue 1.
00:22:22PSG Monaco.
00:22:23Question de notre grand reporter, José Barroso.
00:22:30Cet été, lui dit, vous parliez de la difficulté de faire la saison sans Kylian Mbappé.
00:22:35Six mois plus tard, avec l'encule, pensez-vous que ce challenge a été relevé ?
00:22:38Que le pari du PSG sans Mbappé est un pari réussi ?
00:22:41Écoutez la réponse de Louis Sénriquet.
00:22:44Je crois que j'ai été très courageux la saison dernière en annonçant qu'on serait plus fort cette saison.
00:22:49Je continue de penser qu'on est plus performant en attaqué, en défense, et les chiffres le prouvent.
00:22:57C'était dommage de voir partir un joueur comme Kylian, mais les joueurs ont pris ça comme un défi.
00:23:01On aurait aimé le garder car tout le monde aimait Kiki.
00:23:04Mais l'équipe a répondu très positivement.
00:23:11Et je vous avais dit que je voulais qu'on ait quatre joueurs à dix buts.
00:23:14On a déjà un joueur qui a dépassé ce chiffre.
00:23:16J'invite les autres à l'imiter.
00:23:20Pari a-t-il digéré le départ de Kylian Mbappé ? Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
00:23:24Jingle, on y va.
00:23:27Oui Benjamin Khorez, non Grégory Schneider.
00:23:30Pari a-t-il digéré le départ de Mbappé ?
00:23:32Oui Benjamin, je préfère vous faire parler en premier.
00:23:35Moi c'est un grand oui et je suis assez surpris que Greg ne dise pas oui non plus.
00:23:38Il nous a annoncé au début de l'émission qu'il écoutait les acteurs.
00:23:40Pour le coup, s'il écoutait les acteurs, ils sont tous unanimes sur cette question
00:23:43en disant que le PSG est plus fort que la saison dernière.
00:23:45Pas plus tard que ce week-end, Eric Roy a dit qu'ils étaient plus forts collectivement,
00:23:48plus forts à la perte du ballon et ça me paraît évident.
00:23:50Aujourd'hui effectivement, moi je le prenais pour un fou.
00:23:53Quand il nous disait qu'il y avait Kylian Mbappé, ce serait facile de le remplacer.
00:23:56Je ne dis pas que c'est le cas, mais pour le coup effectivement,
00:23:59offensivement ils ont trouvé des buteurs. Dembélé est à 19 buts.
00:24:01Barcoula est à 15 buts.
00:24:02Et d'autres ont déjà marqué puisqu'il a 15 buts, 4 buteurs différents.
00:24:05Donc je pense que cette équipe est plus forte collectivement.
00:24:07Ok, 30 secondes à vous.
00:24:09Pourquoi vous dites non, Greg ?
00:24:11En Ligue 1, ils tiennent le choc.
00:24:12En Ligue 2, ils tiennent le choc.
00:24:13Mais l'année dernière, ils tenaient le choc aussi.
00:24:14On va parler de la Ligue des champions et du tour de poule.
00:24:16Ils ont pris 8 équipes.
00:24:17Contre les 4 équipes les mieux classées, ils ont pris 1 point.
00:24:19Contre le PSV Eindhoven.
00:24:20Ils se sont fait tartiner par le Bayern, ils se sont fait tartiner par Arsenal.
00:24:23Ils ont perdu contre l'Atletico Madrid.
00:24:24Donc ensuite, ils ont ramassé les morts en fin de classement.
00:24:26Là, ils se foutent du monde en fait.
00:24:27C'est-à-dire que la saison n'a pas vraiment commencé pour eux et ils le savent.
00:24:31Ils sont en 16ème de finale de Ligue des champions.
00:24:32Je rappelle que c'est l'équivalent du premier tour de poule de la saison passée.
00:24:35Ils n'ont rien fait.
00:24:36Il peut se passer quelque chose contre Brest la semaine prochaine qui les mette mal.
00:24:40Donc, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il faut attendre avant de parler.
00:24:48Vous serez inquiets si vous croisez Grégory Schneider.
00:24:50C'est un garçon charmant.
00:24:53Présidente, à votre tranchée, vous avez écouté les deux arguments.
00:24:56Vous penchez plutôt pour celui de Benjamin ou celui de Greg ?
00:24:59Plutôt pour la tartine Greg Schneider.
00:25:01Ah ouais ?
00:25:02Non, mais je suis d'accord avec lui parce qu'effectivement, Louis-Henriquet, là, il fanfaronne après des résultats positifs.
00:25:09Et c'est très bien que le PSG nous ait offert cette grande soirée d'émotions face à Manchester City.
00:25:14Mais tu ne peux pas oublier effectivement, comme Greg le rappelle, ce qui s'est passé contre Arsenal.
00:25:18Tu t'es fait rouler dessus.
00:25:19Et le fait que tu aies été battu par l'Atletico et par le Bayern.
00:25:22Donc, en fait, aujourd'hui, que le PSG soit qualifié et soit encore en Ligue des champions, c'est la moindre des choses.
00:25:29Ils nous ont montré des choses qui nous laissent espérer du mieux.
00:25:32Mais de là à dire que Kylian Mbappé, finalement, a été totalement oublié et que le PSG est bien plus fort à tous les niveaux, c'est faux.
00:25:40Parce qu'en fait, le révélateur de la Ligue 1 n'est pas suffisant.
00:25:43On l'a vu l'an dernier, on le voit cette année.
00:25:45Donc, moi, je veux revoir le PSG, par exemple, s'il retombe sur Arsenal, s'il tombe sur le FC Barcelone,
00:25:50s'il tombe sur des équipes qui sont extrêmement outillées pour aller loin en Ligue des champions.
00:25:54Ce qui est censé être l'objectif du PSG.
00:25:56Donc, je trouve que c'est la contrainte.
00:25:59Il sort du bois au bon moment.
00:26:00On marque une pause. Dans quelques minutes, on ira voir le coin droit de l'équipe du soir.
00:26:04Paris a-t-il géré le départ de Mbappé ? Dans quelques minutes, oui, je vais céder aux menaces.
00:26:09C'est l'homme le plus fort du monde.
00:26:11Dans quelques minutes, nous donnons la parole à un joueur de Bourgogne.
00:26:26Malheureusement, le miracle n'a pas eu lieu.
00:26:28Ils ont été éliminés par 1, sans huitième de finale.
00:26:31Le Bergélien, c'est le Soviétique.
00:26:35On l'avait découvert juste après l'exploit réalisé par Bourgogne contre l'Olympique lunaire.
00:26:39Je suis passé par Bourgogne aujourd'hui, si ça vous intéresse.
00:26:42C'est vrai ? Et vous avez fait des amis ?
00:26:44En TER. Et un charmant monsieur qui pensait que j'allais au match.
00:26:47Dans quelle classe ?
00:26:49En classe collée au vélo.
00:26:51Voilà, c'est toujours du sport en effet.
00:26:53Merci beaucoup.
00:26:55Juste, il faut qu'on enchaîne.
00:26:56On avait un petit truc avec Louis Sénéqué, qui nous parle de la digestion de Mbappé.
00:27:00Pour lui, oui.
00:27:02Moi, il y a quinze jours, trois semaines, avant Manchester City, j'aurais dit non.
00:27:05Est-ce qu'aujourd'hui, depuis, vous voyez un point d'inflexion ?
00:27:09On ne sait pas si c'est oui, mais il y a un doute.
00:27:11Pour ne pas le voir, il ne faut pas aimer le football, il ne faut pas regarder les matchs.
00:27:14Parce que franchement, ce point-là, on l'a vu et on pouvait en douter.
00:27:18Je pense que j'aurais répondu de la même manière à la question.
00:27:20C'était un suicide d'imaginer faire une saison sans un avançant de classe pour remplacer Mbappé.
00:27:26Aujourd'hui, on se dit que c'est peut-être possible quand même.
00:27:28Le niveau qu'a atteint le PSG, le changement, l'évolution de cette équipe tout au long de la saison,
00:27:33j'ai l'impression que ni Karine ni Greg n'ont voulu le voir.
00:27:35Ok, ils ont perdu des matchs contre des grosses équipes.
00:27:37Mais aujourd'hui, ce n'est plus la même équipe, Paris.
00:27:39Et c'est vrai que les joueurs offensifs sont en train de progresser.
00:27:41C'est vrai qu'ils sont aussi en train de marquer.
00:27:43C'est vrai qu'aujourd'hui, on regrette un tout petit peu moins Mbappé.
00:27:46Juste, on voit là Dembélé qui marque un triplé, deuxième triplé.
00:27:51Sur les quatre derniers matchs, c'est huit buts.
00:27:53S'ils ont digéré Mbappé, est-ce que c'est lié à l'éclosion d'un buteur ?
00:27:57On ne sait pas jusqu'où ça va courir.
00:27:59Est-ce qu'il y a ça aussi à prendre en considération ?
00:28:05En fait, c'est presque pareil.
00:28:07C'est presque pareil l'année dernière et cette année, au final.
00:28:11Parce que finalement, ce n'est pas le Mbappé des saisons d'avant qu'il a eu,
00:28:16Louis-Henriquet.
00:28:17Puisque de toute façon, il préparait sa sortie,
00:28:20puis il était en train d'imposer ses idées.
00:28:22Parce que globalement, quand on regarde dans le jeu collectivement,
00:28:26il a un peu amélioré sa version de l'année dernière.
00:28:29C'est une équipe qui se procure beaucoup de situations.
00:28:32Moi, j'en étais resté là.
00:28:34C'est-à-dire que moi, j'étais sûr que le niveau au moyen du Paris Saint-Germain
00:28:36cette saison était plus fort que le niveau là.
00:28:38Mais je ne savais pas et j'avais un doute
00:28:40que Paris était moins fort dans ses niveaux les plus hauts.
00:28:43Moi, j'en étais resté là.
00:28:44On peut l'entendre.
00:28:45Collectivement, je pense que c'est plus fort.
00:28:48Mais au niveau des résultats, ça ressemble à l'année dernière.
00:28:50Parce que l'année dernière, avec Mbappé en Ligue des Champions,
00:28:54ils sortent de leur groupe à l'arrache.
00:28:56Ce n'est pas de bêtise.
00:28:57C'est ce qui s'est passé.
00:28:58Ils sont demi-finalistes aussi.
00:28:59Oui, mais là, on n'en est pas à ce point-là.
00:29:00Je ne peux pas prédire l'avenir.
00:29:03Mais si on fait un...
00:29:04C'est une démonstration.
00:29:0568-22, oui.
00:29:06J'espère que l'OM a bien digéré le duel.
00:29:09Il y a un doute ?
00:29:10Vous avez un doute ?
00:29:11Pour moi, digérer Mbappé,
00:29:12c'est-à-dire que psychologiquement, on l'a digéré.
00:29:15Sportivement, peut-être pas totalement.
00:29:18Pour X raisons.
00:29:19Parce qu'effectivement, c'est le joueur le plus efficace
00:29:22de l'histoire du championnat de France.
00:29:24Mais psychologiquement, en fait, pour moi,
00:29:26il n'est plus là, mais déjà depuis beaucoup plus longtemps
00:29:29que le début de saison.
00:29:33T'es pas bien assis.
00:29:34C'est ça qui a gêné ta démonstration, c'est ça ?
00:29:36Mbappé, ne vous inquiétez pas.
00:29:37J'aime ton but.
00:29:38On va parler de ski.
00:29:39Les mondiaux de ski, attention à trop de ski.
00:29:42C'est étant clair, sur la chaîne d'équipe,
00:29:44au minut du jour, à Salbar, Autriche,
00:29:46le Super G-Drag,
00:29:47l'ENA qui a gagné le titre 1 mondial,
00:29:49alors que...
00:29:50Je vous ai dit un peu tôt.
00:29:51Oui, surtout un peu tôt.
00:29:52J'ai l'impression d'être rappelé.
00:29:54C'est le bazar.
00:29:55Généralement, s'il n'y a rien qu'on peut vous montrer,
00:29:57l'ENA, allez-y.
00:29:59Tout ça va s'animer.
00:30:01Il y a eu des surprises.
00:30:02L'Autrichienne Stéphanie Venir s'est imposée chez elle
00:30:05devant son public.
00:30:06Victoire surprise parce que la skieuse
00:30:08remporte son premier titre mondial.
00:30:10Et Karine, on sait que vous étiez au ski.
00:30:12Vous faisiez aussi bien sur les pistes ?
00:30:13Oui, largement.
00:30:14Mieux même.
00:30:15Mieux.
00:30:16Effectivement, Benjamin.
00:30:17Petite anecdote, sur le podium,
00:30:19elles étaient 4.
00:30:21A la 3e place, l'Américaine Lorraine Macuga,
00:30:24ex-aequo avec la Norvégienne Kajsa Vikoff-Lai.
00:30:26Elles ont toutes les deux été sacrées médailles de bronze.
00:30:29Comme ça, pas de jalouse.
00:30:31Et dans ces mondiaux, on cherche encore nos tricolores.
00:30:34Laura Gaucher a ouvert ce Super G
00:30:36avec son dossard de numéro 1.
00:30:38Et malgré sa très belle course,
00:30:39c'était trop fort derrière elle.
00:30:41Elle termine 13e meilleure française du classement.
00:30:44On espère que ce chiffre 13 portera chance aux hommes.
00:30:47Rendez-vous demain sur la chaîne L'Equipe
00:30:49pour le Super G masculin.
00:30:51Adrien, vous êtes là.
00:30:52Il y a des espoirs de médailles demain ?
00:30:54Ou alors non ?
00:30:55Il y a trop de forfaits ?
00:30:56Ça va être compliqué.
00:30:57Mais c'est les courses d'un jour.
00:30:58Pour une fois, les courses d'un jour.
00:30:59Il faut toujours espérer des choses.
00:31:01Notamment, on y s'allègre.
00:31:02À suivre demain.
00:31:03Mais ça va être compliqué.
00:31:04Ça va être dur.
00:31:05Mais c'est une course d'un jour.
00:31:06Mais ça va être compliqué.
00:31:07Mais ça va être dur.
00:31:08Une star était attendue dans ce Super G d'âme au tournant.
00:31:11La star, Céline Zévolne,
00:31:12l'Américaine de retour cette saison sur le circuit
00:31:14après 6 ans de pause.
00:31:15Un comeback alors qu'elle a 40 ans.
00:31:17Malheureusement, son Super G n'a duré que 28 secondes.
00:31:20Malheureusement, son Super G n'a duré que 28 secondes.
00:31:21On va revoir ce moment au commentaire.
00:31:23On va revoir ce moment au commentaire.
00:31:24Un oeil incourable.
00:31:25Assisté de Jean-Baptiste Grange.
00:31:26On y va.
00:31:27Assisté de Jean-Baptiste Grange.
00:31:28On y va.
00:31:29Maintenant, accrochez vos ceintures.
00:31:30Maintenant, accrochez vos ceintures.
00:31:31Retenez votre respiration.
00:31:32Retenez votre respiration.
00:31:33Linz Zévolne, la Speed Queen,
00:31:34Retenez votre respiration.
00:31:35Linz Zévolne, la Speed Queen,
00:31:36est de retour sur les pistes.
00:31:37est de retour sur les pistes.
00:31:38Il y a de la pression là.
00:31:48Toujours avec ses machines allemand,
00:31:51Elle reprend sa poignée de bâton.
00:31:55C'est parti pour Linz Zé.
00:31:59Il faut tout de suite rentrer.
00:32:01Il faut tout de suite rentrer.
00:32:02Il faut tout de suite rentrer.
00:32:03Il faut tout de suite beaucoup d'intensité,
00:32:04Beaucoup d'intention.
00:32:05Beaucoup d'intention.
00:32:06Y'aura-t-il un exploit monumental ?
00:32:08Va-t-on vivre l'histoire aujourd'hui ?
00:32:10Ouais, ça se passe pas mal.
00:32:11Elle avait d'abord un trajectoire.
00:32:13Elle est toujours aussi calme dans la conduite de ses courbes.
00:32:18C'est pas mal, c'est pas mal ce premier secteur.
00:32:19Oh non !
00:32:20Oh la la !
00:32:21Oh terrible !
00:32:22L'erreur de Lindsley-Vaughn !
00:32:24Oh quel dommage !
00:32:25Et en plus elle s'est fait mal visiblement au bras.
00:32:28Ouais, ça se coûte toujours quand même fort.
00:32:30Je pense pas que ce soit très grave
00:32:31mais bon, ça l'a vraiment arrêté d'un coup.
00:32:33C'est une discipline impitoyable.
00:32:35On ne peut pas revenir après 6 ans d'absence comme ça.
00:32:41Clé, la 28ème seconde.
00:32:42Paf !
00:32:43C'est quoi sa faute ?
00:32:44C'est pas beaucoup 28 secondes, mine de rien,
00:32:45pour un retour comme ça au championnat du monde.
00:32:47Malheureusement, la faute c'est qu'elle est trop intérieure
00:32:49au moment de rentrer là-dessus.
00:32:50Donc c'est une erreur de trajectoire, de lecture de trajectoire.
00:32:52Elle, elle s'est justifiée, on va revoir l'image,
00:32:54mais elle s'est justifiée en disant qu'elle avait été trop agressive.
00:32:57Et on le voit un petit peu au chrono, mine de rien,
00:32:59parce que le chrono il est plutôt bon justement
00:33:00au moment où elle arrive au premier intermédiaire.
00:33:02Elle a 14 centièmes de retard.
00:33:03Il faut savoir que c'est rien et que ça faisait une vingtaine de dossards
00:33:06qu'on n'avait personne qui tutoyait environ Stéphanie Venir
00:33:09qui était leader à ce moment-là.
00:33:10Donc c'était quelque chose d'intéressant,
00:33:12mais trop agressive, trop d'envie et elle a heurté cette porte.
00:33:14Le style de Lynn Zevon, c'est le ski un peu au chaos, quoi.
00:33:17Vous verrez, on tend les trajectoires au maximum à la limite, quoi.
00:33:20C'est très direct en fait, pour vous dire ça.
00:33:22Très, très direct, très vertical.
00:33:23On descend en fait, vite.
00:33:24D'accord, c'est super jeu, mais on descend.
00:33:26On l'écoute, Lynn Zevon qui a eu la chance quand même.
00:33:28Elle a eu beaucoup d'honneur,
00:33:29mais elle n'a jamais été interviewée par France Pirron.
00:33:31C'est chose faite depuis aujourd'hui.
00:33:32On y va.
00:33:37Que s'est-il passé ?
00:33:38Avec votre bras.
00:33:40C'est simple.
00:33:42Du coup, mon bras est rentré dans la porte.
00:33:44Je n'avais plus aucune sensation au niveau du bras, du coup, juste après.
00:33:47Là, je pense que ça va mieux.
00:33:49Je vais aller rentrer à l'hôtel, me soigner.
00:33:51Mais voilà, j'ai essayé de nouvelles choses avec mes équipements.
00:33:58Il faut tenter pour revenir après tant d'absence.
00:34:01Donc, ça ne m'était jamais arrivé de faire une faute comme ça.
00:34:05Puis surtout, je me sentais bien sur la partie du haut.
00:34:08Et donc maintenant, il faut se remobiliser avant samedi.
00:34:11Voilà, donc 28 secondes.
00:34:12Faut-il acter le ratage de son comeback ?
00:34:14Et c'est partagé sur le bateau.
00:34:16Non, non, non, elle était dans le coup déjà.
00:34:20Donc ça, c'est plutôt rassurant.
00:34:22Ensuite, elle a fait un écart effectivement, mais 6 ans, c'est ça ?
00:34:27Avec en plus une grosse blessure.
00:34:29Evidemment, elle s'est entraînée, mais bon,
00:34:30elle a quand même besoin de retrouver des repères, un minimum.
00:34:32Puis elle reprend à 40 ans.
00:34:33Mais oui.
00:34:34Elle a un genou au petit tas de bons.
00:34:35Elle a une quatrième place cette année en Coupe du Monde.
00:34:37Rien que ça, ça ne tente pas la réussite.
00:34:41Mais c'est une erreur qu'elle n'avait jamais faite.
00:34:43Et elle le dit aussi dans son interview.
00:34:44C'est des erreurs aussi de trajectoire.
00:34:45Et revenir comme ça, c'est difficile de retrouver un très bon but.
00:34:48Après, le seul truc par rapport à son comeback,
00:34:52c'est le comeback qui n'était pas fait pour ce jour-là, pour aujourd'hui,
00:34:55le but de Linzé Bonne, c'est d'être là à Milan-Cortina en 2026.
00:34:59Donc, c'est d'être là aux Jeux olympiques dans un an.
00:35:01Elle revient progressivement.
00:35:02On peut lui accorder certaines erreurs.
00:35:04On verra déjà la descente, quels seront les résultats de Linzé Bonne en descente.
00:35:07Mais en tout cas, on ne peut pas parler de son comeback aujourd'hui,
00:35:09de juger son comeback aujourd'hui, parce qu'elle est là pour un an encore au moins.
00:35:12Même la descente, ce ne sera pas décisif.
00:35:14J'ai l'impression qu'elle prend la température, en fait, cette saison.
00:35:17Alors, elle se met des objectifs,
00:35:19mais tu ne peux pas l'enterrer, c'est impossible.
00:35:22En fait, Linzé Bonne, c'est quoi ? C'est qui ?
00:35:25Elle pèse quoi, cette championne-là ?
00:35:27C'est légende vivante, vraiment.
00:35:28Légende vivante dans sa discipline.
00:35:2982 victoires en Coupe du Monde.
00:35:31Alors, je sais que ça peut paraître un peu abstrait pour beaucoup,
00:35:33mais 82 victoires en Coupe du Monde, c'est vraiment énorme.
00:35:36Surtout qu'elle se concentre vraiment exclusivement sur la vitesse.
00:35:38Elle a été multichampionne olympique.
00:35:40Elle n'aurait pas gagné dans toutes les disciplines également ?
00:35:42Non, elle est surtout sur la visette.
00:35:44C'est Michaela Schifrin qui est dans toutes les disciplines.
00:35:45Elle est surtout sur la vitesse.
00:35:47Mais elle a été championne olympique en super-G et en descente.
00:35:49Elle a été championne du monde en super-G et en descente.
00:35:52Et puis aussi, c'est quelqu'un, mine de rien, sur les réseaux sociaux.
00:35:55On sait que ça compte aussi.
00:35:55Première méga-star du ski, en tout cas, à l'ère des réseaux sociaux.
00:35:582 millions d'abonnés.
00:36:00C'est le double de Michaela Schifrin.
00:36:01On est tous sous le nom de Michaela Schifrin.
00:36:02Linzé Bonne, c'est encore au-dessus.
00:36:04Donc, c'est quelqu'un de très connu dans tous les aspects,
00:36:06dans le sport, mais aussi en dehors.
00:36:08Le retour de Bonne, ça a été apprécié sur le circuit ?
00:36:10C'est mitigé, c'est très mitigé.
00:36:13Un peu d'opinion.
00:36:14Alors, il y a beaucoup d'anciens sportifs, notamment d'anciens skieurs,
00:36:17qui n'ont pas apprécié du tout,
00:36:19parce qu'ils disaient qu'elle prenait des risques complètement inconsidérés.
00:36:21Pourquoi ?
00:36:22Il y a une double championne olympique autrichienne, par exemple,
00:36:23qui disait qu'il faut qu'elle aille voir un psychologue,
00:36:25parce qu'elle a un genou, mine de rien, en titane.
00:36:27Elle a une prothèse au genou, Linzé Bonne.
00:36:29Il faut savoir que si elle a une grosse chute,
00:36:30le super-G et la descente, c'est les disciplines les plus dangereuses.
00:36:33C'est là où on a les plus grosses chutes.
00:36:34C'est là où on a les plus gros bobos, malheureusement.
00:36:37Alexis Peintureau est bien placé pour le savoir.
00:36:38Alexis Peintureau qui fait la descente depuis un an
00:36:40et qui, malheureusement, a subi deux grosses blessures
00:36:42depuis qu'il s'est mis à la descente.
00:36:43Et en fait, ce que disent certains spécialistes,
00:36:45c'est que si elle se blesse, elle peut se retrouver avec un genou en miettes
00:36:48et ne plus pouvoir vraiment marcher jusqu'à la fin de ses jours.
00:36:51Donc, elle prend un risque inconsidéré.
00:36:52Dans le même temps, il y avait une page aujourd'hui dans l'équipe,
00:36:55je pense que c'était aujourd'hui, où c'était très touchant.
00:36:56Il y avait notamment des Françaises qui disaient
00:36:58« Mais moi, j'ai grandi en regardant Linzé Bonne.
00:37:00J'ai toujours rêvé devant ma télé.
00:37:03Et aujourd'hui, je prends des photos avec elle.
00:37:04Alors, même si elle est très entourée,
00:37:06qu'on a une petite hésitation avant d'aller la voir,
00:37:08elle est très accessible.
00:37:10Et pour nous, c'est un rêve éveillé.
00:37:11Et je trouve ça magnifique. »
00:37:12Et c'est l'autre côté, effectivement,
00:37:14parce que le ski, parfois, peut manquer de visibilité.
00:37:16Et là, on a quand même une super histoire.
00:37:18Et puis, effectivement, vous avez raison de le souligner,
00:37:19il y a Karine Clément, une Française qui a 21 ans,
00:37:21qui disait « Mais vous vous rendez compte ?
00:37:22Moi, ma carrière, c'est bon, elle est finie.
00:37:23J'ai couru en championnat du monde avec Linzé Bonne aujourd'hui.
00:37:26Et ça, c'est quand même extraordinaire. »
00:37:33Vous êtes tous répondus à la question
00:37:35« Faut-il acter son comeback ? »
00:37:37Non, non, cette question est abjecte, scandaleuse.
00:37:39Ça, c'est votre style, d'accord ?
00:37:40Un scandale, mémé.
00:37:41On va juste faire un petit pas de côté.
00:37:43Les comebacks dans le sport, parfois, ça marche,
00:37:45parfois, ça ne marche pas.
00:37:46J'ai Michael Jordan qui avait fait un comeback magnifique en ski.
00:37:50Ça marche, tes comebacks ou pas ?
00:37:51On a cherché.
00:37:52J'ai cherché à répondre à cette question.
00:37:54Est-ce que vous avez trouvé ?
00:37:55Malheureusement, non.
00:37:56Il y a eu des comebacks de blessures,
00:37:57parce qu'évidemment, il y a eu beaucoup de blessures.
00:37:59Il y a eu Body Miller qui a eu de graves blessures.
00:38:00Il y en a eu des comebacks de blessures,
00:38:01mais ça aurait été six ans comme ça.
00:38:03Ou même deux ans.
00:38:04On a vu Marcelle Hirscher aussi,
00:38:05qui est une autre légende du ski,
00:38:06qui a repris cette année,
00:38:07et qui s'est blessée malheureusement,
00:38:08qui s'est fait l'écroiser,
00:38:09qui n'est pas à ces championnats du monde-là,
00:38:10sous bannière néerlandaise d'ailleurs, pour l'autrichien.
00:38:12Donc non, on ne s'est jamais vus en tout cas.
00:38:15Pour l'instant, ça n'a jamais été fait.
00:38:17Voilà, ça n'a jamais été fait.
00:38:18Elle a terminé quatrième quand même en fin du monde,
00:38:20ce que disait Greg.
00:38:21C'est quelque chose qui est énorme.
00:38:22Quatre et six.
00:38:23Au palmarès de Lindsey Vonn,
00:38:24elle a terminé quatrième.
00:38:25Mais attend, elle a 40 balles.
00:38:26Elle n'est pas venue, elle n'est pas revenue.
00:38:27Elle a fait le comeback pour être quatrième.
00:38:28Mais la différence au classement,
00:38:29c'est quatre dixièmes.
00:38:30C'est rien.
00:38:31Entre premier et quatrième.
00:38:32Dans le ski, quatre dixièmes, c'est...
00:38:33Oui.
00:38:34Tu fais une faute.
00:38:35Ce que je veux dire,
00:38:36c'est que quand tu es dans ce paquet,
00:38:37tu peux gagner une course.
00:38:38En même temps, il y a des skieurs et des skieuses,
00:38:39ils ont toujours fait quatre dixièmes de trop.
00:38:40Ils n'ont jamais été sur un podium.
00:38:41Il faut être dans le paquet.
00:38:42C'est ça que je veux dire.
00:38:43On connaît très bien.
00:38:44En tout cas, ça vous situerait aussi,
00:38:45surtout l'exploit.
00:38:46Si jamais elle a une médaille en descente,
00:38:47ça vous situerait l'exploit
00:38:48qui serait peut-être
00:38:49l'un des plus grands exploits
00:38:50de l'histoire du ski.
00:38:51Et du sport.
00:38:52Et du sport.
00:38:53Monsieur Courrouble,
00:38:54vous n'êtes pas lancé pour arriver.
00:38:55On vous retrouve demain.
00:38:56Merci.
00:38:57Demain, 11h effectivement,
00:38:58pour le Super G masculin.
00:38:59À quelle heure ?
00:39:0011h.
00:39:0111h.
00:39:0211h.
00:39:0311h.
00:39:0411h.
00:39:0511h.
00:39:0611h.
00:39:0711h.
00:39:0811h.
00:39:0911h.
00:39:1011h.
00:39:1111h.
00:39:1211h.
00:39:1311h.
00:39:1411h.
00:39:1511h.
00:39:16C'est noté.
00:39:17Merci Adrien.
00:39:18Avec peut-être une médaille française.
00:39:19La coupe d'une journée.
00:39:20Le Minuit à Fauré-Lamounier,
00:39:21la Coupe de France.
00:39:22Reims a été qualifié pour les quarts de finale.
00:39:23Reims qui a eu la peau de Bourgoin,
00:39:24vous voyez,
00:39:25le petit pousset.
00:39:26Après une séance de tir au but
00:39:28au bout du suspense
00:39:29et riche en émotions.
00:39:30Premier tir réussi pour Bourgoin.
00:39:34Donc là, on commence à y croire.
00:39:36Derrière, Diakité rate.
00:39:37Le petit pousset peut commencer à rêver.
00:39:40Mais Alexandre Oliero,
00:39:41le gardien de Reims,
00:39:42est impérial.
00:39:43Trois arrêts dans cette séance de tir au but.
00:39:46Atik maintient Bourgoin en vie
00:39:50avant qu'Akeme envoie Reims en quarts de finale
00:39:53de la Coupe de France.
00:39:54Score final,
00:39:55trois tirs au but à deux dans cette séance.
00:39:59Nous tentons de rentrer en contact
00:40:00avec le joueur de Bourgoin,
00:40:01j'allie eux,
00:40:02Sofiane Atik.
00:40:03Voilà Sofiane,
00:40:04si vous m'entendez,
00:40:05rappelez-nous,
00:40:06ça nous ferait plaisir de vous annoncer.
00:40:07Reims donc,
00:40:08est en quarts de finale,
00:40:09affrontera, vous l'avez dit,
00:40:10ou pas ?
00:40:11On en a parlé tout à l'heure,
00:40:12mais on peut y revenir.
00:40:13Oui, on peut y revenir.
00:40:14Choc Saint-Brieuc,
00:40:15vous l'avez ou pas ?
00:40:16Oui, je l'ai bien sûr.
00:40:17Le choc des extrêmes,
00:40:18c'est Saint-Brieuc,
00:40:19N2 contre le PSG,
00:40:21Cannes contre Guingamp
00:40:22et Brest affrontera Dunkerque.
00:40:24La Coupe de la Ligue,
00:40:25on connaît désormais la finale,
00:40:27ça sera Liverpool qui a renversé Tottenham.
00:40:29Liverpool contre Newcastle,
00:40:30Newcastle qualifiée hier contre Arsenal.
00:40:32C'était le match retour
00:40:33de la demi-finale de la League Cup,
00:40:35la Coupe de la Ligue anglaise.
00:40:37Tottenham avait remporté le match allé,
00:40:39mais Anfield, ce n'est pas la même.
00:40:41Liverpool ouvre le score,
00:40:42superbe passe de Salah,
00:40:44le ballon est touché,
00:40:45Gakpo à la finition.
00:40:491-0.
00:40:50Derrière, Salah sur pénalty.
00:40:52Pénalty tellement bien tiré.
00:40:55C'est son 26e but cette saison,
00:40:57toute compétition confondue.
00:40:5875e minute,
00:41:00Zoboslaï aux abords de la surface.
00:41:04Et derrière, sur Konner,
00:41:06Van Dijk exactement en habille.
00:41:08Score finale 4-0.
00:41:09Liverpool est qualifiée pour la finale
00:41:11de cette Coupe de la Ligue anglaise.
00:41:14Et ce sera face à Newcastle.
00:41:16La série à présent,
00:41:18la Fiorentina qui s'impose
00:41:20contre l'Inter 3-0.
00:41:23J'y suis presque mémé.
00:41:24Ne vous inquiétez pas.
00:41:25Dans ces fiches, c'est tout bon.
00:41:28Pour l'anecdote,
00:41:29c'est un match qui avait déjà eu lieu
00:41:30le 1er décembre 2024,
00:41:32mais la rencontre a été suspendue.
00:41:34Le joueur de la Fiorentina,
00:41:35Edouard Debovet, que vous voyez sur ces images,
00:41:37avait eu un accident cardiaque en pleine rencontre.
00:41:39Il n'a toujours pas rejoué au football.
00:41:41Le match a repris là où il s'était arrêté
00:41:43à la 17e minute.
00:41:44Et sur Konner,
00:41:45c'est Ranieri qui ouvre le score pour la Fiorentina.
00:41:47C'est son premier but cette saison.
00:41:50Ensuite, sur un centre,
00:41:51Dodo.
00:41:53Pour l'ancien joueur du PSG,
00:41:54Moïse Keane,
00:41:55de la tête.
00:41:58Et ça fait 2-0.
00:42:02Et en toute fin de match,
00:42:03perte de balle de Di Marco.
00:42:05Moïse Keane à l'affût.
00:42:10Doublé de l'ex-Parisien.
00:42:11Victoire 3-0 de la Fiorentina
00:42:13qui passe 4e de Serie A.
00:42:15L'Inter reste 2e,
00:42:17mais perd des points face à Naples, le leader.
00:42:19Attends, s'il y a breaking news,
00:42:20une information est censée vous être donnée
00:42:22sur la Serie A.
00:42:23C'est peut-être le premier match de l'histoire du football
00:42:25qui commence par une touche.
00:42:26Ils ont fait l'engagement par une touche
00:42:28puisqu'il y avait eu touche quand ils avaient arrêté.
00:42:31Ça, c'est quand même une sacrée curiosité.
00:42:33Cette année, le Paris-Camembert arrivera à Camembert.
00:42:35C'est une information de Gregor Schneider
00:42:37qui va vous développer dans quelques minutes.
00:42:39Le Brésilien Marcelo a annoncé cet après-midi
00:42:41un départ à la retraite.
00:42:42C'est la retraite pour Marcelo.
00:42:43À 36 ans, après 20 ans de carrière
00:42:45et 5 Ligues des Champions avec le Real,
00:42:47le Brésilien a annoncé sa retraite
00:42:50avec cette vidéo postée sur ses réseaux sociaux.
00:42:54Et plusieurs de ses anciens coéquipiers
00:42:56lui ont adressé des messages
00:42:58comme Cristiano Ronaldo, je cite,
00:43:00« Mon frère, quelle carrière incroyable.
00:43:02On a beaucoup vécu ensemble.
00:43:04Ça a été des années de réalisation,
00:43:06de victoires et de moments inoubliables.
00:43:08Plus qu'un coéquipier, un partenaire pour la vie.
00:43:10Merci pour tout, mon ami.
00:43:12Je te souhaite le meilleur dans cette nouvelle phase de vie. »
00:43:14Ramos, on vient de l'apprendre,
00:43:16lui a signé au Mexique, au Rayados.
00:43:18Entre la retraite de Marcelo
00:43:20et cette signature de Ramos,
00:43:21c'est clairement la fin du nerf.
00:43:23Marcelo, franchement, c'est un joueur exceptionnel.
00:43:26Un meneur de jeu.
00:43:27Du temps de sa splendeur au Real Madrid,
00:43:29Yohann Mikou nous expliquait
00:43:31que c'était le vrai numéro 10 de l'équipe.
00:43:33C'est-à-dire qu'il était arrière-gauche
00:43:35sauf qu'il était meneur de jeu.
00:43:36Tu veux dire que c'est un intérêt à la brésilienne ?
00:43:38La chambre chimique.
00:43:39Un peu.
00:43:43Le niveau technique de Marcelo,
00:43:44je pense qu'il n'y a pas un arrière-gauche au monde
00:43:46dans l'histoire qui a eu ce niveau technique.
00:43:48Les contrôles, si on va sur YouTube,
00:43:50pour les jeunes qui n'ont pas vu jouer Marcelo,
00:43:52c'est des contrôles exceptionnels.
00:43:53Le niveau de jeu de ce joueur-là,
00:43:55qui en plus a une ribambelle de titres,
00:43:57je pense que c'est un des joueurs
00:43:58les plus titrés de l'histoire du foot, Marcelo.
00:44:00Oui, au moins cinq ligues des champions.
00:44:02Après, on n'a pas tout dégradé.
00:44:03Oui, mais déjà, ça écrème.
00:44:04Le joueur le plus titré de l'histoire du Real
00:44:07et après, c'est passé à Nacho, c'est ça ?
00:44:09Oui, il semble.
00:44:11Du côté de l'Euroleague à présent,
00:44:13malheureusement, c'est une défaite ce soir pour Lasvell.
00:44:16En déplacement en Allemagne,
00:44:18Lasvell s'incline 67 à 76.
00:44:21On notera la très belle adresse du Bayern.
00:44:23Comme d'habitude, 10 sur 20 aux trois points.
00:44:25On voit ici Andreas Hobst aux trois points.
00:44:30Lasvell enchaîne avec une troisième défaite de suite en Euroleague.
00:44:33Ça devient de plus en plus difficile d'aller accrocher les play-ins.
00:44:36Ils sont 14e de la compétition.
00:44:38Les caliphes de l'Eurodame de basket.
00:44:40Match de tous les records pour l'équipe de France,
00:44:42donc féminine, face aux Irlandaises.
00:44:44J'ai appris qu'elle jouait au basket.
00:44:46Puis après, j'ai regardé le match et j'ai compris.
00:44:48Vous êtes mauvaise langue.
00:44:49Non, c'est malheureux.
00:44:50Record battu pour les Françaises, 101 points d'écart.
00:44:53C'est la plus large victoire des Bleus depuis 2002.
00:44:56Et leurs 96 points d'écart face à la Tunisie.
00:44:58En plus, elles sont qualifiées pour l'Euroféminin 2025.
00:45:01C'est officiel.
00:45:02Salah, meilleure marqueuse de la rencontre avec 19 points.
00:45:05Et sans Gabi Williams, les Bleus ont plus compté sur Ilana Rupert.
00:45:0915 points, 7 rebonds, 4 passes.
00:45:11Prochain rendez-vous pour nos Bleus à Riga,
00:45:14pour affronter Israël dimanche.
00:45:16C'est le dernier match de poule.
00:45:18L'objectif des Bleus est de finir en beauté.
00:45:21Ces qualifications avec 6 victoires en 6 matchs.
00:45:24A Rotterdam, c'est terminé.
00:45:26C'est le tennis pour Arthur Fyss, éliminé dès les 8e de finale.
00:45:29Le Français, 19e mondial, s'est fait surprendre par Daniel Atmaier, 93e.
00:45:34L'Allemand annonce la couleur dès le premier set, 6-4.
00:45:43Fyss trouve un second souffle dans le second set.
00:45:46Mais ça ne suffira pas.
00:45:47Dernier set décisif.
00:45:49Fyss s'incline 6-4, 6-3, 7-5.
00:45:53On a l'habitude avec nos Français.
00:45:56Il y en a déjà plus.
00:46:01Une première pour Alexis Lebrun.
00:46:03C'est l'utilise de table au Grand Smash de Singapour.
00:46:05Il s'est qualifié ce jeudi pour les quarts de finale du Grand Smash de Singapour.
00:46:09C'est l'équivalent d'un tournoi de grand chelem en tennis.
00:46:12C'est une première dans sa carrière.
00:46:14Un succès contre le Chinois Xu Fei en 5 manches.
00:46:17Alexis Lebrun est le dernier Français en lice.
00:46:20Pour rappel, son petit frère Félix, lui, est éliminé.
00:46:23Petite consolation, les deux frères se sont qualifiés en double pour les demi-finales.
00:46:27Titulaire samedi à Twickenham pour Angleterre-France,
00:46:31Galtier a dévoilé son 15e de départ lors de la conférence de presse
00:46:34qui tournait tout autour du retour de Jalibert.
00:46:38Rappelons qu'en novembre dernier,
00:46:40le Bordelais n'avait pas accepté d'être réserviste contre les All Blacks
00:46:44et avait demandé aux sélectionneurs de rentrer à Bordeaux.
00:46:47Doléances acceptées.
00:46:48Aujourd'hui, pour le sélectionneur, le rappel de Jalibert,
00:46:51c'est une décision simple et cohérente.
00:46:53Il n'y a pas de polémique. On l'écoute.
00:46:55Là, on est en train d'une discussion
00:46:58qu'on a voulu parfois rendre spectaculaire.
00:47:03On a voulu en faire de la polémique.
00:47:06C'est un mot que j'emploie parfois.
00:47:10Nous, il n'y avait pas de polémique.
00:47:13Le passage qu'a eu Mathieu à cet automne est très intéressant pour nous
00:47:16parce que la méthode que l'on a, c'est de développer les joueurs,
00:47:20accompagner les joueurs, leur donner tout ce que l'on peut
00:47:24en termes de capacité à progresser.
00:47:29Progresser, ce n'est pas uniquement le geste.
00:47:32Bien sûr, c'est le geste, c'est la tactique
00:47:35et c'est aussi la compétence qu'on va appeler préparation mentale.
00:47:39Et pour tous ces joueurs, les étapes et les moments de vie qu'ils traversent,
00:47:44très heureux parfois, très très heureux, et parfois moins heureux,
00:47:48donc avec des charges cognitives parfois émotionnelles négatives,
00:47:52on leur apprend avec nos compétences et nos préparateurs mentaux
00:47:57à traverser ces moments-là de différentes manières.
00:48:00Et si c'est un exemple, pour nous, il était hors de question
00:48:03de rentrer dans un rapport de force.
00:48:06Nous, le rapport de force, il est uniquement avec l'adversaire.
00:48:09Nous, si on doit combattre, il est avec l'adversaire,
00:48:12il n'est pas avec nos joueurs.
00:48:14Le 15 de départ, Jalibert revient et un second changement,
00:48:17Damien Ponneau est de retour, sa blessure à l'orteil
00:48:20l'avait fait rater le match France-Pays de Galles.
00:48:22Que devient Attis Gaubet, titulaire vendredi ?
00:48:25Il passe de titulaire à rien du tout.
00:48:27Auteur de deux essais contre le Pays Galles,
00:48:29il n'est pas sur la feuille de match d'Angleterre-France.
00:48:31L'arrière remplaçant, c'est le palois Emilien Gaëton.
00:48:34Et vous avez raison, Nabil, dans le jargon,
00:48:36on appelle ça une rabiot.
00:48:38Sur le cas de Jalibert, sur ce qu'a expliqué...
00:48:42Vous l'avez trouvé convaincant ou pas ?
00:48:44Oui, mais on sait quand même ce qu'il s'est passé,
00:48:46il peut toujours minimiser, le contexte est lourd.
00:48:48Et en fait, quand tu réfléchis bien, Jalibert,
00:48:50il a une pression phénoménale sur lui samedi.
00:48:53Parce que s'il est là, c'est parce que Tamak est blessé,
00:48:55c'est parce qu'il ne veut pas sortir Ramos du poste d'arrière,
00:48:57parce que sinon Ramos serait le remplaçant naturel.
00:48:59Et je trouve que c'est dur pour lui de jouer aussi gros,
00:49:02alors que c'est les Anglais, que les Anglais viennent perdre,
00:49:04que Théâtre Wickenham.
00:49:06Je trouve que le poids qu'il porte sur les épaules samedi
00:49:08est considérable.
00:49:10Vous avez rafluté Thierry de Motty, j'avais l'impression
00:49:12qu'il avait un truc à nous dire sur les explications
00:49:14de la pédagogie de Fabien Galtier.
00:49:16Moi, je trouve qu'il est formidable, Galtier, sur ce coup-là.
00:49:18Parce que franchement, c'était assez simple de carrer Jalibert,
00:49:22vu le comportement qu'il a pu avoir dans le 15 de France,
00:49:26mais aussi sur certains matchs de championnat.
00:49:29C'est quelqu'un qui, dans le comportement,
00:49:31il a parfois des difficultés,
00:49:33et puis en plus, il n'en a pas totalement besoin.
00:49:35Il peut faire avec une solution différente.
00:49:38Le fait de le maintenir, de le conforter, de le rappeler,
00:49:42et de la manière dont il le fait, je trouve très simple, très humble,
00:49:45et on ne va pas faire un match contre nos joueurs,
00:49:47les matchs c'est contre les adversaires.
00:49:49Moi, j'ai trouvé formidable Galtier.
00:49:51Angleterre-France, ça sera samedi,
00:49:53mais Angleterre-France sur la chaîne d'équipe,
00:49:55c'est demain soir, 21h.
00:49:57Rendez-vous, donc, 21h sur la chaîne d'équipe
00:49:59en France, le tournoi destination U20, des moins de 20 ans.
00:50:03Allez les Bleus !
00:50:04Du cyclisme, Léna, la deuxième étape de l'étoile de Bessèges
00:50:07dans le Gard, et une nouvelle arrivée au sprint aujourd'hui.
00:50:09Avec la victoire de Varennes-Colbet,
00:50:12mais sur la ligne d'arrivée, ce n'était pas le seul événement marquant.
00:50:15Regardez.
00:50:17Et voilà, regardez justement, c'est l'autre coureur, l'autre sprinter.
00:50:20Il y a une cassure, il y a une cassure derrière lui.
00:50:22Avec Mathis Michels qui va attaquer le coureur d'Yef,
00:50:24dans la route d'Axel Loros !
00:50:25Axel Loros, Michels !
00:50:26Axel Loros qui a sa tête !
00:50:28Attention !
00:50:29Et Arnaud Desbarres aussi sur la gauche.
00:50:30Oh là là, la chute !
00:50:31La chute à l'instant, et enfin, finalement,
00:50:33Varennes-Colbet qui s'impose !
00:50:35Ça, c'est quand même une surprise,
00:50:37de voir Varennes-Colbet s'imposer pour la formation une EX.
00:50:40Il est revenu !
00:50:41Mais il est revenu comme une balle,
00:50:43derrière, pour finalement déborder tous ses adversaires.
00:50:47Le Français Arnaud Desbarres, lui, est deuxième aujourd'hui.
00:50:50Et Paul Magnier, notre petit crac français,
00:50:52est toujours en tête au général.
00:50:54Nabil, j'ai une question.
00:50:55L'étoile de Bessèges, deuxième étape, 17 km de l'arrivée.
00:50:57Je vous ai vu arriver.
00:50:59Vous étiez dans le gare cet après-midi ou pas ?
00:51:02Je sais que Karine était dans une gare, mais moi...
00:51:05Images, peut-être ?
00:51:06Oui, pourquoi pas.
00:51:07Vous étiez à bord de votre véhicule.
00:51:09Alors là, on ne voit pas, mais on va faire un petit plan large.
00:51:12Regardez ce qu'il se passe à la sortie du village.
00:51:14Vous êtes là, vous êtes dans votre résidence secondaire,
00:51:16qui est bien connue.
00:51:17Merci.
00:51:18C'est le France 2 Pôle.
00:51:19Ça situe ma consommation.
00:51:20Et voilà, vous prenez la bagnole pour rejoindre l'équipe du soir.
00:51:22Qu'est-ce qu'il se passe ?
00:51:24Il n'est pas très malin, le gars.
00:51:25Visiblement, le conducteur n'était pas au courant du passage de la course.
00:51:29Il s'en est bien sorti, quand même.
00:51:31Il s'en est bien sorti, mais il y a une chute.
00:51:33Mais c'est à cause de la voiture, non ?
00:51:35Oui, il y a un attassement, il y a un coup de frein, les mecs sont tombés.
00:51:38Ce n'est pas de la faute de la voiture.
00:51:39Normalement, ça doit être sécurisé.
00:51:40Parcours au cycliste par la gendarmerie ou par la SPA.
00:51:42Oui, oui.
00:51:45Si tu ne viens pas les uns, tu ne viens pas les autres.
00:51:47Très sympa, la résidence secondaire.
00:51:49Ce soir sur la chaîne, l'équipe débute de votre nouveau feuilleton.
00:51:52Chaque jeudi soir, jusqu'au 29 mai, sur l'équipe,
00:51:54la chaîne ou l'équipe live, qu'est-ce qu'il se passe ?
00:51:57Ça fait plaisir à nos chefs parce qu'ils adorent les fléchettes.
00:52:00Les huit meilleurs joueurs du monde sont réunis
00:52:02pour la première ligue de fléchettes.
00:52:04Et parmi eux, Stephen Bunting.
00:52:06Son entrée sur la musique de Titanium, c'est déjà culte.
00:52:09Regardez, c'est encore mieux que quand c'est David Guetta.
00:52:24« You take the reign, I run away, far away.
00:52:30You shoot me down, but I won't fall.
00:52:34I am the king.
00:52:37You shoot me down, but I won't fall.
00:52:42I am the king. »
00:52:46Stephen Bunting, âgé de 39 ans.
00:52:48Forcément, les fléchettes, ça conserve.
00:52:50Merci beaucoup.
00:52:51C'est tous les jeudis soir.
00:52:52C'est l'information que vous voulez vous passer.
00:52:54Ah oui, 39 ans.
00:52:56C'est pas un cadeau.
00:52:58Bénatia Exclusif à présent.
00:53:00Le directeur du football, le directeur sportif de l'OM
00:53:03pose à la ligne de l'équipe une photo, surtout la citation.
00:53:06« Je suis en mission. »
00:53:07« Je suis en mission à quoi ? »
00:53:08« À l'OM. »
00:53:09« Le directeur du football, le directeur sportif de l'OM
00:53:13à l'OM. »
00:53:14La une était plus nette que ça, quand même.
00:53:17Il y a un petit bug.
00:53:19« Je suis en mission. »
00:53:20C'est à la ligne de l'équipe.
00:53:21Ça résume à peu près 100% son état d'esprit.
00:53:23Entretien passionnant réalisé par Mathieu Grégoire.
00:53:26Question de Mathieu.
00:53:27« Comment jugez-vous vos débuts comme directeur sportif ? »
00:53:29Et là, vous allez voir, il est cash.
00:53:31J'ai envie de me baser surtout sur les sept derniers mois.
00:53:33Les six premiers, j'essaie de les oublier.
00:53:35Même si ça reste gravé, c'est dur.
00:53:37Une équipe très moyenne, une attitude catastrophique,
00:53:40tant de choses à changer.
00:53:41Deux bordels dans le club.
00:53:43Je me fais petit.
00:53:44Je prends des notes.
00:53:45On fait à l'arrivée une demi-finale de la Coupe d'Europe.
00:53:47La vérité, je ne sais même pas comment.
00:53:49Tu finis huitième en Ligue 1.
00:53:50Bien sûr, c'est honteux.
00:53:51Et en fin de saison, j'ai dit soit on décide de prendre
00:53:53une décision radicale, soit on risque de foncer dans le mur.
00:53:55Non, non, non.
00:53:56On ne va pas aller dans le mur.
00:53:57Il faut tout changer.
00:53:58On va tout changer.
00:53:59On va repartir sur une aupage blanche.
00:54:01Un petit peu plus loin.
00:54:02Il nous dit ceci.
00:54:03« Je ne sais pas combien de temps je resterai.
00:54:04Sûrement pas longtemps. »
00:54:05Je n'ai pas peur de le dire.
00:54:06C'est usant mentalement et physiquement.
00:54:07La seule garantie.
00:54:08Je vais tout donner jusqu'au dernier jour.
00:54:10Je suis en mission pour moi ici.
00:54:11C'est une mission.
00:54:12Mehdi Belhassia.
00:54:13Un peu son côté bulldozer là.
00:54:15Est-il l'autorité qui manquait à l'Olympique de Marseille ?
00:54:18Quatre chroniqueurs pas d'accord.
00:54:19Super duel.
00:54:20Vous avez du boulot ma chère Karine.
00:54:21On y va.
00:54:24Mehdi Belhassia, est-il l'autorité qui manquait à l'OM ?
00:54:26J'ai deux oui.
00:54:27L'équipe Cuarez-Djalit qui commence.
00:54:32Benjamin Ounabil ?
00:54:33Ounabil.
00:54:34Ounabil.
00:54:35Premier de cordée ?
00:54:36Premier oui.
00:54:37Et j'ai finalement des gens qui se réconcilient sur l'OM.
00:54:40Ils ne sont jamais d'accord.
00:54:41Mais là cette fois-ci, il y a une sorte de pacte.
00:54:43Je ne m'attendais pas à ça.
00:54:44Un pacte des opposés quand le nord rencontre le sud.
00:54:46Etienne ou Grégory qui commence pour les noms.
00:54:49C'est Grégory qui va commencer.
00:54:50Il adore prendre la parole.
00:54:51Il est énorme.
00:54:52Là c'est Etienne qui va commencer.
00:54:54Tiens.
00:54:55Tiens la gueule.
00:54:56Tiens.
00:54:57Ça commence bien.
00:54:58Je t'ai dit d'accord.
00:55:00Mehdi Belhassia, est-il l'autorité qui manquait à l'OM ?
00:55:02Oui.
00:55:04En tant que joueur, c'était un défenseur central.
00:55:06Donc il était au marquage.
00:55:07Et j'ai l'impression qu'en tant que directeur sportif, il est au marquage des joueurs.
00:55:10Alors structurellement, effectivement, on peut se poser la question de savoir pourquoi
00:55:13il n'y a pas de culture et d'exigence du côté de l'OM.
00:55:15Mais conjoncturellement, je pense que sur cette mission-là, ça ne peut être que bénéfique
00:55:19du côté de l'OM.
00:55:20Alors il y a différentes choses.
00:55:22Il y a le mercato.
00:55:23Il y a tout ce qui se passe autour.
00:55:25Mais il y a aussi le quotidien.
00:55:27Et au quotidien, il semble investir.
00:55:29Moi, la question que je me pose, ce n'est pas tellement est-ce qu'il va réussir à
00:55:32avoir de l'autorité.
00:55:33C'est est-ce que ça continuera après son départ ?
00:55:35Et ça, ça m'interpelle.
00:55:36Mehdi Belhassia, est-il l'autorité qui manquait à l'OM ?
00:55:38Il a répondu non.
00:55:39Etienne Moati ?
00:55:41Pour l'instant, Mehdi Belhassia, je le vois surtout quand même invectiver les arbitres
00:55:45et se faire expulser, prendre des suspensions, que ce soit à la Ligue ou à la Fédération.
00:55:51Je le vois être assez présomptueux.
00:55:53Je le vois être pas mal arrogant, comme s'il n'y avait jamais rien eu avant lui.
00:55:56Je le vois franchement avoir pas mal de suffisance aussi.
00:55:59Je trouve qu'il devrait un tout petit peu redescendre.
00:56:01Pour l'instant, je n'ai pas non plus le sentiment qu'il ait encore fait énormément
00:56:04de choses à Marseille.
00:56:05On va aller piano, piano, mon cher Mehdi.
00:56:08Et puis, on verra un peu plus tard.
00:56:09Mais pour l'instant, non.
00:56:10OK.
00:56:11Et on a répondu oui.
00:56:12Benjamin Corrèze, vous avez la main ?
00:56:14Il faut rappeler le contexte dans lequel il arrive.
00:56:16Il arrive juste après une réunion entre les supporters et les dirigeants.
00:56:18Une réunion au cours de laquelle on voit Logoria complètement en difficulté, isolé.
00:56:23Il arrive à le protéger depuis son arrivée, à battre un énorme boulot par la connaissance
00:56:28du milieu du foot, la connaissance d'un vestiaire.
00:56:30La connaissance, bien évidemment, de tout ce qui entoure l'Olympique de Marseille
00:56:33et les environnements marseillais.
00:56:34Pour moi, c'était l'homidouane pour remettre l'OM en marche d'un point de vue politique.
00:56:38Et je pense vraiment qu'il a fait beaucoup plus encore qu'on ne pouvait l'imaginer.
00:56:41C'était un ancien agent qui aujourd'hui est devenu un dirigeant d'envergure.
00:56:44OK.
00:56:45On passe à Grégory Schneider.
00:56:46Je pense qu'il charge les joueurs.
00:56:49Il y a Eliouahi qui prend un tir ce matin.
00:56:51Les joueurs ne sont pas des débiles, ne sont pas des demeurés qui font ce qu'ils veulent.
00:56:55Ils ont une pression en plus assez naturelle à Marseille.
00:56:57Il ne faut pas les prendre pour des billes.
00:56:59Il y a quelque chose qui me dérange, c'est qu'il a tendance à imputer sur le comportement
00:57:02des choses un petit peu annexes.
00:57:03C'est-à-dire que par hasard, les joueurs dont il veut se débarrasser avec une petite
00:57:06valeur marchande et tout ça, il les charge en disant que le comportement n'est pas réglé
00:57:09aujourd'hui.
00:57:10Il voit une instrumentalisation.
00:57:11Comme a dit Etienne, il raconte l'histoire à sa sauce.
00:57:13Et puis, il était là l'année dernière.
00:57:14On ne va pas non plus l'oublier.
00:57:15Donc dire, moi, j'ai pris des notes.
00:57:18Très bien.
00:57:19C'est dur.
00:57:20Tu es là, mon gars.
00:57:21Tu es là.
00:57:22Mais dis, Bénatia, soyez plutôt sympathique.
00:57:24Bon, ça vous agace, cette situation, l'interview.
00:57:26Mais bon, le côté bulldozer, l'autorité qui manquait à l'OM, la présidente va trancher.
00:57:34C'est oui, c'est non.
00:57:35Et pourquoi ?
00:57:36Déjà, je suis surprise que vous ayez retenu ça dans l'interview.
00:57:39En fait, moi, ce qui me choque le plus, et Nabil en a parlé, c'est le fait qu'il nous
00:57:43explique deux, trois ans maximum à Marseille.
00:57:45Et après, il partira.
00:57:46Donc, moi, je vais aller du côté de Greg et d'Étienne, parce qu'en fait, c'est ça
00:57:50le gros problème.
00:57:51À Marseille, il n'y a jamais de continuité.
00:57:53Et en quoi c'est grave ?
00:57:54Le problème, c'est qu'il va mettre son énergie pendant deux, trois ans.
00:57:59Il vaut mieux avoir quelqu'un qui mette son énergie à 100 % pendant deux, trois ans
00:58:02plutôt que quelqu'un qui se dit, bah ouais, pendant cinq ans.
00:58:05Mais pour le coup, on ne peut pas lui faire ce reproche-là aujourd'hui.
00:58:07Et s'il le fait pendant trois ans avec autant d'énergie qu'il le fait aujourd'hui, je pense
00:58:10que ce sera plus que bénéfique pour l'OM.
00:58:12Le problème, c'est que je n'ai pas inventé le foot, mais les clubs qui marchent visiblement
00:58:16c'est des clubs qui travaillent dans une longue période.
00:58:19Donne-moi des exemples récents avec des dirigeants qui sont...
00:58:22Ah bon, tu parles à la présidence ?
00:58:24Non, c'est une réalité.
00:58:25Les clubs structurés, oui.
00:58:26Aujourd'hui, des clubs qui fonctionnent comme Liverpool, comme le Bayern, ce n'est pas des clubs
00:58:29qui changent tous les deux ans.
00:58:30Et le problème avec Longoria...
00:58:31Oui, mais lui, il n'est pas responsable de ça, en fait.
00:58:33Non, mais sauf que lui, il te dit déjà...
00:58:34C'est le même cas ces dernières années.
00:58:35Je vais partir deux, trois ans.
00:58:37Donc, c'est quand même inquiétant.
00:58:38Oui, mais Karim, Karim, ça n'engage...
00:58:40Enfin, je veux dire, il dit deux, trois ans, mais ça se trouve, il fera beaucoup plus, on n'en sait rien.
00:58:43Excuse-moi, c'est lui qui l'annonce.
00:58:45Non, parce qu'il a expliqué aussi, je veux dire, c'est une pression terrible.
00:58:48Il a fait venir sa famille et tout ça.
00:58:50Et donc, j'aimerais savoir quand il parle de deux, trois ans...
00:58:52C'est buisant, quand même.
00:58:53C'est un stress incroyable.
00:58:54C'est moi qui parle.
00:58:55Quand il parle de deux, trois ans, il parle du moment où il est arrivé en novembre 2023
00:58:58ou à partir du moment où il est directeur sportif, parce que c'est encore plus court.
00:59:02Et je suis désolée, Longoria, parce que c'est le président, donc c'est lui la tête pensante tout en haut.
00:59:06Il est arrivé. Au début, qu'est-ce qu'il a fait ?
00:59:08Il a fait venir des Espagnols qu'il connaissait.
00:59:10Ça n'a pas très bien marché. Fini.
00:59:12Après, il y a eu la filière stéphanoise.
00:59:14Ça n'a pas très bien marché. C'est parti.
00:59:16Et à chaque fois qu'il y a un nouveau, tu viens avec tes hommes, ce qui est normal.
00:59:19Et donc, aujourd'hui, tu as Benacia.
00:59:21Et donc, Benacia, d'ici un an et demi, si on part sur les trois ans maximum, il va partir.
00:59:25Donc, on recommencera tout de zéro avec le centre de formation, avec tout.
00:59:28Moi, quelqu'un qui dit deux, trois ans maximum, ça m'inquiète pour la stabilité dans un club.
00:59:33Mehdi Benaciet, c'est l'autorité qui manquait à l'OM.
00:59:36Le non l'emporte. Qu'en pensez-vous, chers téléspectateurs ?
00:59:39Allez sur les réseaux sociaux, participez dans quelques minutes.
00:59:41Prolongation et résultat de ce Super 2, à tout de suite.
00:59:54De la une de l'équipe à la une de l'équipe. Benacia, une de l'équipe d'aujourd'hui.
00:59:57De demain, Sébou, Léna. Alors, qu'est-ce qu'on découvre à la une de l'équipe demain ?
01:00:01Eh bien, la une de demain, titre sur le match entre le PSG et Monaco en Ligue 1.
01:00:06D'un côté Dembele, de l'autre, Mika Biret. La récente recrue, Monegasque.
01:00:11Ça va être un duel princier.
01:00:13Ah oui, c'est un duel triplé. Les joueurs ont marqué un triplé ce week-end.
01:00:17On était sur Benacia. Témoignage exclusif recueilli par Mathieu Grégor aujourd'hui à l'une de l'équipe.
01:00:22Moi, j'étais frappé. J'étais frappé en lisant par l'énergie que dégage ce personnage, ce nouveau personnage de la Ligue 1.
01:00:30Son égo aussi. De l'énergie et de l'égo, ce sont deux qualités qu'ont et que devraient avoir tous les directeurs sportifs.
01:00:37Je trouve qu'il est assez convaincant.
01:00:40Il a l'impression qu'il n'y a plus que lui à Marseille. Dans les autres clubs, les directeurs sportifs ne se mettent pas en avant comme ça en permanence.
01:00:48Je trouve ça assez étonnant.
01:00:50Est-ce que l'OM a besoin d'une sorte d'autorité ?
01:00:53Il a l'autorité du joueur qu'il était.
01:00:55Le cliché.
01:00:58Olivier Lettand, à Lille, il a de l'égo ?
01:01:01Oui.
01:01:03Je retrouve peut-être des défauts sur les gens, mais qui sont des qualités dans le foot.
01:01:09Olivier Lettand est plutôt dans le profil de ce que pouvait être un OLAS à un moment donné, c'est-à-dire omniprésent.
01:01:14C'est-à-dire le président qui fait tout et qui donne le sentiment que c'est lui qui décide de tout.
01:01:17C'est sûrement vrai pour une grande part et qui en fait un petit peu beaucoup.
01:01:20Il représente le club et il va au charbon à torer à travers parfois, mais en tout cas il y est tout le temps.
01:01:27Mais Mehdi Benhassia, il vient d'arriver à Marseille.
01:01:30Aujourd'hui, on le présente comme le meilleur, mais il a raté aussi quand même.
01:01:34Ils ont terminé 8e la saison dernière.
01:01:36Il a raté aussi un Mercato.
01:01:38Il y a des joueurs qui ont été obligés de partir très vite.
01:01:40Ce n'est pas que des succès.
01:01:42Je trouve qu'il est omniprésent au bord des pelouses.
01:01:44Il invective tout le monde.
01:01:45Je trouve qu'il en fait un peu beaucoup.
01:01:47On verra la suite.
01:01:48Je ne suis pas pour que le directeur sportif soit la voix du club en permanence comme ça.
01:01:52C'est la nouvelle star de l'Olympique de Marseille.
01:01:54Il y a la hype Benhassia.
01:01:56On ne la partage pas.
01:01:57Nabil, un petit mot.
01:01:58Moi, ce qui m'intéresse, au-delà de sa personnalité.
01:02:00De toute façon, il a toujours été comme ça.
01:02:02C'est quelqu'un qui prend de la place.
01:02:03Dans sa carrière, il en prenait également en tant que joueur.
01:02:05Il était capitaine du Maroc.
01:02:06Il a fait des gros clubs.
01:02:08Mais moi, ce qui m'intéresse, c'est ce qu'il a détecté.
01:02:10Est-ce qu'ils ont peut-être d'autres détectés avant lui et qu'ils n'ont pas réussi à régler ?
01:02:14Je ne sais pas s'il va régler ou pas.
01:02:16Mais cette exigence, c'est-à-dire que lui, il est passé par des gros vestiaires.
01:02:19Mais avant lui, Villas-Boas, il entraînait un gros club.
01:02:21Tudor, il a été aussi dans des gros vestiaires.
01:02:24Et ce qui remonte souvent, pour les joueurs en tout cas du championnat de France,
01:02:27surtout quand ils s'exportent ensuite à l'étranger,
01:02:30c'est le niveau d'exigence, la rigueur, le travail.
01:02:34Attends, je peux terminer, Greg ?
01:02:36Terminez parce que j'ai des réactions aussi.
01:02:38Je vais vous les soumettre.
01:02:39Mais allez-y, Nabil.
01:02:40Terminez votre intervention, s'il vous plaît.
01:02:41Après, on verra.
01:02:42Surtout, ce que je me dis, c'est qu'en fait, ce qui pointe du doigt, ce n'est pas normal.
01:02:47Parce que quand un directeur à sportifs arrive dans des gros clubs ailleurs,
01:02:50il dit qu'il n'y a pas de culture du travail, il n'y a pas de machin, il n'y a pas de machin.
01:02:54Est-ce qu'on est sûr qu'il n'y a pas de culture du travail ?
01:02:58Sur Jonathan Clos, il n'y a pas de culture du travail.
01:03:00Il a dit n'importe quoi.
01:03:01Il faut voir que quand un officiel d'un club qui incarne le club fustige un joueur,
01:03:07pour le joueur, c'est très dur.
01:03:08Il y a des supporters qui s'en prennent à lui.
01:03:10Il existe des trucs sur les réseaux sociaux.
01:03:11Et ce n'est pas Marseille qui a l'excuse de ça, loin de là.
01:03:15Aujourd'hui, il y a un branleur.
01:03:18Attends, je te dis juste un truc.
01:03:20Après, tu n'es pas obligé de le dire en « on ».
01:03:22Il n'y a pas de souci.
01:03:23Mais à un moment, quand tu arrives dans un vestiaire,
01:03:26quand tu signes à l'OM ou quand tu signes dans n'importe quel club,
01:03:29c'est aussi des responsabilités.
01:03:30Donc lui, en fait, moi, je le vois comme ça.
01:03:32Il a fait des gros vestiaires.
01:03:34C'est-à-dire qu'en gros, tu ne peux pas le caroter.
01:03:36Il voit des trucs, il sent des trucs.
01:03:37À juste titre ou pas ?
01:03:38Oui.
01:03:39Quand des mecs arrivent en retard, quand des mecs se plaignent.
01:03:41Si ce n'est pas juste titre, c'est grave.
01:03:42Peut-être qu'il ne faut pas le dire en « on ».
01:03:43Peut-être qu'il ne faut pas le dire en « on ».
01:03:44Rien que ça.
01:03:45Je n'en sais rien.
01:03:46Mais peu importe.
01:03:47Chacun sa méthode.
01:03:48Il a le droit d'être d'accord ou pas d'accord.
01:03:49Mais c'est quand même une immersion.
01:03:51Je termine là-dessus.
01:03:52Moi aussi, je vais terminer.
01:03:53Vous allez terminer rapidement.
01:03:54Pour le coup, c'est une immersion.
01:03:55Après, effectivement, tu n'es pas obligé d'envoyer des mecs
01:03:58sur la place publique.
01:03:59Tu nous le présentes comme un immense novateur.
01:04:02Moi, je l'ai vu prendre, utiliser des vieilles ficelles,
01:04:04c'est-à-dire le complot de l'arbitrage contre Marseille,
01:04:07contre moi personnellement, des trucs que j'ai entendus
01:04:102 000 fois dans le championnat de France
01:04:11et pas mal de fois à Marseille.
01:04:12Donc, franchement, de ce point de vue-là,
01:04:13je trouve qu'il n'a pas inventé non plus.
01:04:14Bon.
01:04:15Silence les chroniqueurs de l'équipe du soir
01:04:16parce qu'il y a un client en haut.
01:04:17Regarde.
01:04:18Franck Galizet.
01:04:19Alors ?
01:04:20Galizet.
01:04:21Pardon.
01:04:22Franck.
01:04:23Ça peut être plus simple.
01:04:24Galizet.
01:04:25L'Hongoria n'a aucun intérêt à garder Benassia
01:04:26plus de 3 ans parce qu'on s'était un peu pris la tête
01:04:27sur la durée et tout ça, sur ce qu'il veut.
01:04:29C'est l'Hongoria qui le met en danger
01:04:30vis-à-vis de l'actionnaire et des supporters.
01:04:31En quoi ?
01:04:32Mais qui nous explique ?
01:04:33Attends, c'est quoi la question ?
01:04:34C'est un tweet alors.
01:04:35Mais ce n'est pas la question.
01:04:36C'est une remarque de Franck.
01:04:37Déjà, l'actionnaire, il sera content
01:04:39s'ils sont en Ligue des champions à la fin de la saison
01:04:41parce que c'est vital pour le club.
01:04:43C'est tout ce qu'il demande.
01:04:44Donc, à partir du moment où ils sont en Ligue des champions
01:04:45à la fin de la saison,
01:04:46pourquoi Macron dirait Benassia, il saute ?
01:04:48Non.
01:04:49Mais ce qui est inquiétant, effectivement,
01:04:50c'est le fait de dire
01:04:52je ne peux pas m'inscrire dans la durée.
01:04:54Mais tu penses vraiment ça ?
01:04:55Mais attends, Nabil, je ne comprends pas ta question.
01:04:57C'est-à-dire qu'il y a une interview d'un homme
01:04:59et tu me dis qu'en fait, il ment.
01:05:01Et si Benassia, il te dit
01:05:02moi, 2-3 ans, c'est le maximum.
01:05:04Tu sais très bien que dans un an, ça peut évoluer.
01:05:06Tu dis ce qu'il est con.
01:05:07Ça se trouve, dans 6 mois, il n'est plus là.
01:05:08Enfin, il te dit
01:05:09je ne pourrai pas rester longtemps
01:05:10parce que la mission, elle tue, etc.
01:05:13Si il reste 10 ans, ok.
01:05:14Mais enfin, il te dit l'inverse.
01:05:15On verra.
01:05:16Une nouvelle présidente mise en minorité
01:05:17par le peuple de l'équipe du soir.
01:05:20Benassia, est-ce que c'est l'autorité qui manquait à l'OM ?
01:05:23C'est un oui.
01:05:24Méli Benassia, donc, à la cote en ce moment.
01:05:26En tout cas, à la cote des téléspectateurs
01:05:28de l'équipe du soir.
01:05:30Passons à Neymar, le retour.
01:05:31Cette nuit, le Brésilien a joué son premier match
01:05:33avec Santos.
01:05:34Match nul à partout contre Botafogo.
01:05:36Botafogo, ce n'est pas le club de Rio
01:05:38qui est détenu par John Textor.
01:05:39C'est Botafogo, un club de D2
01:05:42qui est dans la ville de Ribeiro Preto.
01:05:44Ça vous rappelle le camp de base ?
01:05:46Les Bleus, en 2014.
01:05:48Voilà pour la petite nautule.
01:05:49On va se rendre du côté du Brésil.
01:05:51Y retrouver Éric Frausio.
01:05:53Éric, est-ce que vous m'entendez ?
01:05:54Bonsoir.
01:05:57Salut, ouais, tout de bien ?
01:05:58Tu m'entends bien, tout de bien ?
01:05:59Oui, ben oui, je vous entends bien à chaque fois.
01:06:01Vous avez une vie quand même.
01:06:02C'est terrible, votre vie.
01:06:05J'ai regardé le match
01:06:07et j'étais surpris de la performance de Neymar.
01:06:10Je l'ai vu un peu dribbler,
01:06:11mais il est un peu moins alerte.
01:06:13Et surtout, je l'ai vu un peu changer de registre.
01:06:15On va dire, il joue aujourd'hui
01:06:17comme un numéro 10,
01:06:19comme un distributeur à l'ancienne.
01:06:21C'est aussi ce que vous retenez, on va dire,
01:06:23de ce premier match, ce match de retour ?
01:06:28Déjà, vous avez vu le match
01:06:29et vous n'étiez pas le seul
01:06:30parce qu'il y avait plus de 3,5 millions d'internautes
01:06:32à regarder le match en direct au Brésil.
01:06:35Donc ça, c'est déjà à noter
01:06:37parce que c'est quand même un match relativement anonyme
01:06:40du championnat régional, du championnat Paulista.
01:06:42Donc ça prouve déjà l'engouement qu'il y a eu
01:06:44autour de ce retour de Neymar à la maison.
01:06:47Et après, oui, dans sa position,
01:06:48j'avoue qu'on ne s'attendait pas à le voir
01:06:50dans une position aussi axiale,
01:06:52même si on sait qu'il a des soucis physiques.
01:06:55On sait qu'il n'a joué seulement 11 matchs
01:06:58depuis son départ du PSG,
01:07:00qu'il a traversé une grave blessure au genou,
01:07:03au ligament du genou,
01:07:04puis une contracture au disque et au jambier.
01:07:07Donc tout ça, ça faisait beaucoup.
01:07:08Donc on ne s'imaginait pas le voir,
01:07:10effectivement, sur un côté et faire des allers-retours.
01:07:12Mais donc voilà, dans une position plus axiale
01:07:14où il peut utiliser sa technique à bon escient.
01:07:17Il y a des petites flèches un peu plus jeunes que lui
01:07:19qui sont sur les côtés et qu'il arrive à servir.
01:07:21Et puis la deuxième surprise,
01:07:22c'est qu'il a joué plus longtemps que prévu.
01:07:23Il a joué 45 minutes.
01:07:24Il a couru plus que ce qu'on avait imaginé aussi.
01:07:27Et puis rappelez-vous aussi ce qu'avait dit Georges Jesus,
01:07:29l'entraîneur de son club en Arabie saoudite.
01:07:32Il avait dit qu'il n'était pas à la hauteur physiquement
01:07:34pour tenir le rythme des entraînements.
01:07:36Et il a démontré le contraire.
01:07:37Et ça, franchement, ça lui a fait plaisir
01:07:42en tout cas de le signifier à l'issue du match
01:07:44auprès du diffuseur en disant
01:07:46ça m'a un peu énervé ce qu'a dit Georges Jesus
01:07:48parce que j'étais l'un des meilleurs à l'entraînement
01:07:50du côté de Halilal.
01:07:52Et puis aujourd'hui, j'ai montré, me semble-t-il,
01:07:54que j'étais à la hauteur.
01:07:55Et je pense que les téléspectateurs ont vu un bon Neymar.
01:07:57Et c'est assez encourageant pour la suite.
01:07:59En général, Neymar se complimente.
01:08:01Ce n'est pas le gars qui a des...
01:08:03Voilà.
01:08:05Tiens, Nabil, vous avez une question.
01:08:07Ce n'est pas sûr.
01:08:08Je ne vais pas faire le boutiquier.
01:08:10Mais ça m'intéresse parce que, pour savoir,
01:08:12ce retour au Brésil, je trouve que c'est bien
01:08:14parce qu'il y a une sécurité affective peut-être
01:08:16dont il a besoin.
01:08:17Mais financièrement, il a fait des...
01:08:20En fait, pour moi, ça jauge aussi de sa motivation.
01:08:22Il a fait d'énormes efforts ou pas pour revenir ?
01:08:26Plutôt oui.
01:08:27Parce qu'il avait un salaire de 100 millions d'euros
01:08:31annuel avec Halilal.
01:08:32Et aujourd'hui, il a un salaire à priori
01:08:34autour d'un million d'euros par mois
01:08:37qui est financé quasiment exclusivement par les sponsors,
01:08:41pas des opérations commerciales.
01:08:43Je crois que Santos, ce n'est pas vraiment officiel,
01:08:45mais Santos paye seulement 10% de son salaire.
01:08:48Tout le reste, c'est lié à des sponsors.
01:08:50Vous voyez sur son maillot, il y en a un peu partout.
01:08:52Et il y en aura de plus en plus au fil des semaines et des mois.
01:08:56Et l'idée de la part de Santos,
01:08:58c'est de voir la viabilité de cette opération,
01:09:00de ce projet Neymar, comme il l'appelle,
01:09:02pour voir s'ils peuvent le renouveler encore un an de plus
01:09:05pour l'accompagner jusqu'en juin 2026,
01:09:08jusqu'à la Coupe du Monde,
01:09:10qu'il ambitionne peut-être pas de gagner.
01:09:14Enfin, ce coup-ci, c'est son rêve.
01:09:16En tout cas, il veut arriver dans des bonnes conditions.
01:09:18Et peut-être qu'en le maintenant à Santos,
01:09:20dans son cocon, peut-être qu'il arrivera
01:09:22effectivement à atteindre ses ambitions
01:09:25et réussir son rêve absolu,
01:09:27gagner la Coupe du Monde pour le Brésil.
01:09:28Eric, il y a une séquence extraordinaire
01:09:30de ce retour de Neymar.
01:09:32Le match est terminé.
01:09:34On va voir tous les joueurs de Botafogo,
01:09:36les adversaires de Neymar.
01:09:38Arrivé devant Neymar, j'ai l'impression que...
01:09:40Neymar, c'est la statue du musée Grévin.
01:09:43Regardez cette séquence.
01:09:45Regardez, il est là, tranquille.
01:09:47Il y a déjà une première photo.
01:09:48Deux photos.
01:09:49Trois photos.
01:09:50Quatre photos.
01:09:51Et le mec assume.
01:09:53C'est tout les gars de Botafogo.
01:09:55Il y en a fait toute sa vie.
01:09:56Oui, mais là, franchement, il y a quelque chose
01:09:58qui traduit beaucoup l'amour et la fascination
01:10:01qu'ont les Brésiliens, évidemment,
01:10:02pour ce joueur génial.
01:10:04Ça a été commenté ?
01:10:06Franchement, c'est la première fois
01:10:07que je vois un truc à la chaîne comme ça.
01:10:10Ce n'est pas une nouveauté.
01:10:12On le voit même, ne serait-ce qu'en éliminatoire
01:10:14de la Coupe du Monde,
01:10:15quand il affronte le Pérou ou le Venezuela.
01:10:18Je peux vous dire que les adversaires
01:10:19font aussi des photos.
01:10:20C'est peut-être un peu moins affiché que cela.
01:10:23Mais en tout cas, c'est régulier.
01:10:24Il a l'habitude.
01:10:25Et à un moment donné,
01:10:26je crois que c'est l'attaché de presse de Santos.
01:10:27Il a voulu regrouper tous les joueurs
01:10:29pour gagner du temps.
01:10:30Et Neymar a dit non, on fait ça un par un.
01:10:32Et aujourd'hui, sur les réseaux sociaux,
01:10:34on a vu défiler toutes les photos
01:10:35de ses adversaires,
01:10:36des joueurs de Ribéry-en-Plaite
01:10:38qui rendaient hommage à Neymar.
01:10:40Ça ne les a pas empêchés d'ailleurs
01:10:41de lui chatouiller les chevilles
01:10:42parce qu'ils ne l'ont pas ménagé.
01:10:43Moi, je pensais que justement,
01:10:44il allait être un peu tranquille à ce niveau-là.
01:10:46Mais non, il a subi un traitement assez musclé
01:10:49en début de match, en tout cas,
01:10:51à partir des dix premières minutes.
01:10:53Et donc voilà, je pense que c'est un championnat
01:10:58qui va lui donner du fil à retordre.
01:10:59Et puis, on va être content aussi.
01:11:01Il faut qu'on le voit challenger quelque part.
01:11:05Donc, c'est bien.
01:11:06Et puis après, l'amour que lui ont proposé les joueurs,
01:11:09c'est quelque chose d'assez classique ici.
01:11:11Eric, merci beaucoup.
01:11:12Derrière vous, c'est la mer
01:11:13ou c'est un parking sordide qui est caché ?
01:11:16Non, derrière moi, figurez-vous que c'est le pain de sucre
01:11:18pour ceux qui connaissent.
01:11:19Oui, oui.
01:11:22C'était dégueulasse.
01:11:24Merci de nous déprimer.
01:11:25Merci, merci Eric.
01:11:26Merci, on vous embrasse Eric.
01:11:27Très bonne nuit du côté de Rio de Janeiro.
01:11:30Bon anniversaire donc à Neymar.
01:11:3233 ans donc ce mercredi.
01:11:34On va jouer.
01:11:35Musique.
01:11:37Ils ont joué avec Neymar.
01:11:38Les jokers Benjamin et Greg.
01:11:39Vous prenez quoi ?
01:11:40Vous partagez un joker.
01:11:41Il y en a un qui élimine, il y en a un qui sauve.
01:11:43Moi, j'élimine.
01:11:44Vous éliminez, donc vous sauvez Greg.
01:11:46Le thème, les fêtards dans le sport.
01:11:48Les fêtards dans le sport.
01:11:49Les fêtards dans le sport.
01:11:50Dans tous les sports.
01:11:51Les fêtards dans le sport, pas dans le foot.
01:11:53Dans le sport.
01:11:54Attention mes amis.
01:11:56Sortir en boîte de nuit était mon équilibre.
01:11:59Diawara.
01:12:00Sous les mains de Diawara.
01:12:01Un jour j'avais décidé d'arrêter.
01:12:02L'un de mes entraîneurs me l'avait conseillé.
01:12:04Ce coach c'est Jean-Louis Gasset à Bordeaux.
01:12:054 points, quelle mémoire.
01:12:07J'élimine Greg.
01:12:084 points.
01:12:09Je ressuscite Greg.
01:12:10Voilà.
01:12:11Et ben voilà.
01:12:12Donc il élimine, il est ressuscité.
01:12:13Merci les jokers.
01:12:14Saut mangé.
01:12:15Joueur de tennis des années 70.
01:12:18Giroulectis.
01:12:19Ma boîte préférée, le studio 54 à New York.
01:12:22J'ai été battu 16 fois d'affilée par Björn Borg.
01:12:24Et que cela vous sert de leçon.
01:12:26Personne ne me bat 17 fois d'affilée.
01:12:28C'était le 17ème match.
01:12:29Il avait été contre Borg.
01:12:30Bon allez.
01:12:31Maintenant je vais vous laisser les amis.
01:12:32Giroulectis.
01:12:33Je vais me coucher.
01:12:34Doucement.
01:12:35Doucement.
01:12:36Doucement.
01:12:37Doucement.
01:12:38On est là.
01:12:39On joue.
01:12:40On gagne.
01:12:41On perd.
01:12:42C'est incroyable.
01:12:43Les fêtards dans le sport.
01:12:44Attention.
01:12:45Je commence une citation.
01:12:46Je vais m'arrêter au milieu de la citation.
01:12:47En 1969, j'ai arrêté les femmes et l'alcool.
01:12:50Georges Best.
01:12:51Alors qu'en 1969, j'ai arrêté les femmes et l'alcool.
01:12:54Et c'était les 20 minutes les plus dures de ma vie.
01:12:57Autre citation.
01:12:58J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport.
01:13:02Le reste, je l'ai gaspillé.
01:13:04Georges Best.
01:13:054 points.
01:13:06Karine Galli.
01:13:07Bravo.
01:13:08Vous avez des lettres.
01:13:09Attention.
01:13:10Les fêtards dans le sport.
01:13:11On va commencer un indice par un début d'anecdote.
01:13:15Un jour, j'ai demandé à mon coach d'aller au carnaval de Rio.
01:13:21C'est Romario.
01:13:23Mais il me fallait deux jours de congés supplémentaires.
01:13:26Mon coach a répondu seulement si vous marquez un doublé demain.
01:13:29J'ai donc inscrit un doublé et Cruyff m'a laissé partir.
01:13:31Bravo Romario.
01:13:32Bravo Karine.
01:13:33J'ai hésité entre deux Brésiliens.
01:13:35C'est bien que tu rattrapes Greg.
01:13:36On va pouvoir s'y remettre.
01:13:37T'es en train de te le raconter un peu.
01:13:39Ça va Greg ?
01:13:40Ça va le moulard ?
01:13:42Il est champion.
01:13:44On continue.
01:13:45Les fêtards dans le sport.
01:13:46À Paris, ma boîte préférée...
01:13:48Romario.
01:13:50Qui a dégainé le premier maître en France ?
01:13:51C'est Karine.
01:13:52On me dit Étienne maître en France.
01:13:55Et on me dit Étienne, vous êtes éliminé.
01:13:59À Paris, ma boîte préférée c'était le bus palladium.
01:14:02Là on continue en fait ?
01:14:03J'appelle Bertrand Latour tout de suite.
01:14:06Mon dieu ça le bus palladium.
01:14:09Ils ne font pas jouer bourré.
01:14:11Mais jouer bourré c'est cool.
01:14:15C'est une déclaration qu'il avait faite lors du tournoi de Monaco de Monte Carlo en 1986.
01:14:20De la paire ?
01:14:21Comment ?
01:14:22En 86 non.
01:14:23Yannick Doha.
01:14:24En 86 j'ai fait danser la France alliée africaine.
01:14:27Yannick Doha.
01:14:28Deux points supplémentaires pour Greg qui reprend la tête de ce coup.
01:14:31Attention nous continuons.
01:14:32C'est pas moi spécialement.
01:14:33Je partageais mon surnom avec l'un de mes coéquipiers.
01:14:38Alors il y en a un ou l'autre.
01:14:41Sydney Gauvoux.
01:14:42Ce surnom c'était Whisky Coca.
01:14:43Moi j'étais le Whisky.
01:14:46C'est Sydney Gauvoux.
01:14:47Bravo Karine.
01:14:50Elle est forte dans les alcooliques comme Karine.
01:14:52C'est pas des alcooliques.
01:14:54C'est des gens qui aiment la vie.
01:14:56Tu as bien raison.
01:14:57Tu m'as bien corrigé.
01:14:58Trop fait tard dans le sport.
01:14:59Flamengo a créé une ligne téléphonique pour signaler mes sorties.
01:15:05Si vous le voyez, vous nous téléphonez.
01:15:06Ronaldinho.
01:15:07Ronaldinho.
01:15:08Une soirée à Milan m'a coûté 75 000 euros.
01:15:10En 2001 j'ai découvert les nuits parisiennes grâce au PSG.
01:15:13A Paris je me faisais enrager.
01:15:14Louis se fait regarder ce qu'il nous regarde tous les soirs.
01:15:16On vous embrasse Louis.
01:15:17Ronaldinho.
01:15:18Quatre points pour la présidente de Galli.
01:15:20Attention.
01:15:22Dernier joueur, dernier fait tard.
01:15:23Abreccia.
01:15:24Après un réveillon trop arrosé.
01:15:26Vous êtes éliminé.
01:15:27Je me suis garé chez le voisin.
01:15:28Balotelli évidemment.
01:15:30Mais je pensais qu'il était chez moi.
01:15:33Ma boîte française préférée c'est le VIP Rome.
01:15:35Le VIP Rome de Saint-Tropez.
01:15:36C'est le VIP, calmez-vous.
01:15:37Le VIP Rome de Saint-Tropez.
01:15:39Le VIP.
01:15:40Oui, le VIP.
01:15:41Le VIP de Rome.
01:15:42Oui.
01:15:43On dit Rome.
01:15:44Mais ce n'est pas du tout sa boîte préférée.
01:15:45J'ai marqué des buts pour Louis.
01:15:47Mario Balotelli.
01:15:49On vous embrasse.
01:15:50La gagnante connaît les endroits de Berlin.
01:15:53Beaucoup plus présents à Monaco, au Sass.
01:15:55Vous vous trompez dans la loi.
01:15:56Elle est plus souvent en boîte de nuit que dans le TER.
01:15:58Ce cours général a été corrigé par dame maîtresse de la nuit.
01:16:01Karine Galli.
01:16:02On vous embrasse.
01:16:03Demain, la misérie d'honneur.
01:16:04Demain, celui qui est officier, c'est le frère de Castaldi.
01:16:10Giovanni.
01:16:11Giovanni.
01:16:12Giovanni.
01:16:13Giovanni.
01:16:14Ah oui, non, Giovanni.
01:16:15C'est moins cher.
01:16:16Giovanni, c'est moins cher.
01:16:17On vous embrasse.
01:16:18Giovanni, on vous embrasse.
01:16:19Ciao, à demain.