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NewsTranscription
00:00 Je suis très heureux d'être ici avec les Sénégalais et l'ensemble de l'administration.
00:05 Je voudrais vous parler de notre travail
00:14 pour pouvoir déposer le dossier de candidature
00:24 de Ousmane Sonko au conseil constitutionnel.
00:29 Je suis sûr que vous connaissez et suivrez les journalistes
00:34 car vous nous avez reçu plusieurs fois en direct.
00:37 Je confirme que vous avez déjà reçu le dossier
00:42 et que nous, Ousmane Sonko, comme d'autres candidats,
00:46 déposons le dossier au niveau du conseil constitutionnel.
00:50 Je vais donc donner tous les pièces pour le déposer.
00:59 Nous avons été en contact depuis le 29 septembre.
01:06 C'est le jour où nous avons déposé le dossier.
01:12 Nous avons présenté comme candidats tous les candidats
01:19 et les mandataires, moi en tant que mandataire,
01:22 Ousmane Sonko au niveau de la DGE pour retirer le dossier.
01:27 Nous avons donc décidé de le retirer car il n'est pas dans le cadre électoral.
01:33 Nous ne pouvons donc pas le déposer.
01:35 Si nous l'avons fait, nous n'aurions pas été le président Khalifa Salle
01:41 ni le président Karim Ouad en 2019
01:44 mais nous l'avons décidé en 2023.
01:49 Le ministre de l'Intérieur a fixé un modèle collectif de parrainages
01:57 depuis le 27 septembre.
02:00 Il a dit que nous allions le déposer
02:05 car nous reconnaissons le statut de candidat à la candidature.
02:09 C'est ce qui devrait se passer.
02:12 Je crois que le 29 septembre, nous allons donner notre fiche de parrainage
02:17 comme tous les candidats à la candidature
02:19 car le remettre de la fiche de parrainage
02:22 ne donne pas de statut ni de faveur.
02:26 Mais ils ont une stratégie pour nous déposer notre dossier au niveau du conseil constitutionnel.
02:33 Ce sont donc des manoeuvres dilatoires.
02:37 Le 2 octobre,
02:44 nous déposerons notre dossier
02:49 car si nous ne donnons pas de fiche de parrainage, nous allons saisir le cours suprême.
02:54 C'est-à-dire la liberté.
02:56 Nous allons aussi saisir le tribunal d'instance de Bouzé Genshoor
03:01 pour qu'il annule la radiation sur les tables et les couches.
03:09 Au mois de juillet, le ministre de la justice transmettra à l'intérieur
03:14 pour radier Ousmane Sonko sur les listes électorales et qu'on ne le notifie pas.
03:19 Tout cela si Ousmane Sonko ne peut pas exercer ses voies de recours.
03:25 Mais le 2 octobre, nous exerçons nos voies de recours.
03:29 Le 6 octobre, le cour suprême a pris son référent
03:36 et a annoncé que la liberté de candidature est un droit fondamental
03:43 mais il est d'accord que ce qui nous apporte des fiches de parrainage
03:48 viole une liberté fondamentale en l'occurrence d'Ousmane Sonko.
03:54 Malgré que l'avocate générale Marème Diop Gaye
03:59 a fait un réquisitoire en faveur d'Ousmane Sonko
04:02 et a dit qu'il allait violer le droit fondamental d'Ousmane Sonko.
04:08 Le cour suprême a donc arrêté la violation et a donné des fiches de parrainage à Mme Desir.
04:14 Le 12 octobre, le juge Saba Syfaye a pris sa ordonnance
04:23 et a fait son référent.
04:25 Nous avons eu des membres de la famille, comme Mme Bousso, qui sont les leaders.
04:32 Nous avons vu des tentatives d'intimidation sur le juge.
04:40 Le magistrat a communiqué avec l'agence judiciaire de l'Etat
04:53 pour qu'il ne manque pas de respect au juge et à la justice.
04:57 Cette décision a été notifiée le 17 octobre.
05:01 Si on la notifie, je vais demander à un maître de l'UICI
05:07 de rendre hommage aux UICI.
05:12 Malheureusement, dans ce dossier, vous avez fait beaucoup de mal.
05:20 Malgré que vous avez donné des textes réglementaires à vos officiers ministériels
05:27 vous avez manqué de respect de manière notoire.
05:30 Nous vous avons présenté au niveau de la DGE
05:33 pour signifier votre ordonnance à Saba Syfaye.
05:37 Nous avons aussi signifié la direction de l'automatisation des fichiers
05:42 pour qu'on le donne aux électeurs comme nous l'avons dit.
05:46 Mais nous avons vu que vous avez bloqué le processus
05:50 jusqu'à la sortie de la DGE.
05:54 Malgré la décision de justice.
05:58 Nous avons été dénoncés.
06:00 Car le jour où nous avons été dénoncés, le policier nous a dit qu'on ne pouvait pas recevoir le fichier.
06:07 Le 20 octobre, nous avons été dénoncés à la DGE et à la DAF.
06:12 Nous avons aussi été dénoncés à un autre dispositif, le commissaire de Médina Abdel Aziz Sarr.
06:18 Nous avons été dénoncés pendant des heures et nous n'avons pas pu entrer dans un service public.
06:26 Nous avons aussi été dénoncés pendant des heures et nous n'avons pas pu entrer dans un service public.
06:33 Nous avons été dénoncés pendant des heures et nous n'avons pas pu entrer dans un service public.
06:39 Nous avons été dénoncés pendant des heures et nous n'avons pas pu entrer dans un service public.
06:45 Nous avons été dénoncés pendant des heures et nous n'avons pas pu entrer dans un service public.
06:52 La DGE a donné des fichiers de parrainage mais nous avons été dénoncés.
06:57 Nous avons été dénoncés pendant des heures et nous n'avons pas pu entrer dans un service public.
07:00 Le 6 juin, le directeur général des élections a communiqué avec nous
07:07 et a dit qu'il n'avait pas de décision définitive.
07:11 C'est pourquoi il n'a pas donné de fichiers de parrainage à Ousmane Sonka.
07:14 Le gouvernement a fait un recours.
07:17 Tout le monde sait que le code électoral est un décret qu'il faut appliquer immédiatement.
07:23 Tout le monde le sait.
07:26 Le recours pour voie de cassation contre type décision ordonnance
07:33 ne sont pas suspensifs.
07:35 Le 36 et 64 ont été décrits par le court.
07:39 Nous continuons dans la légalité de saisir le courriel de la commission électorale nationale autonome.
07:47 Le 22 octobre.
07:49 Nous avons donc demandé à la DGE de donner des fichiers de parrainage
07:58 car le Sénat a un rôle de supervision sur le processus électoral
08:02 et tout le monde le sait.
08:04 Le Sénat est le seul au monde qui a le pouvoir de donner des fichiers de parrainage.
08:14 Si le Sénat donne des fichiers de parrainage
08:16 la DGE ne sera pas en mesure de les faire.
08:22 Elle a été dénoncée le 31 octobre 2023
08:27 mais elle continue de refuser et de les attaquer.
08:34 Nous avons donc demandé à la DGE et au ministère de l'Intérieur
08:40 de donner des fichiers de parrainage car la DGE n'a rien fait.
08:47 Le 2 novembre, notre collectif d'avocats a saisi le Sénat
08:53 pour dire que la DGE a fait une injonction
08:59 et qu'elle ne peut pas faire autrement car la loi électorale et le Sénat l'ont déjà donné.
09:10 Le 3 novembre 2023, le président Macky Salle a pris un décret
09:19 qui a remplacé 12 membres de la Sénat.
09:26 Juste après avoir saisi le Sénat, elle a demandé à la DGE de donner des fichiers de parrainage
09:34 et le Sénat a pris ses responsabilités.
09:36 Le décret présidentiel a été annulé le 3 novembre.
09:41 Ce décret n'a pas respecté aucune loi ni charte
09:48 qui a été pris pour remplacer les membres du Sénat.
09:52 Nous avons donc demandé à nos collègues de nous unir
09:58 car nous ne voulions pas avoir des candidats à payer ou à soutenir.
10:05 Nous avons demandé à eux de nous unir en tant que membre du Sénat.
10:08 Nous ne l'avons pas respecté et nous l'avons remplacé.
10:13 Nous avons aussi fait des consultations
10:17 et nous l'avons respecté.
10:21 Nous avons donc demandé à tous les candidats et aux organisations de la société civile
10:29 de retirer ce décret.
10:32 Mais nous n'avons pas fait ça et nous avons déposé un recours en excès de pouvoir
10:38 sous l'initiative de la DGE pour qu'il annule ce décret.
10:45 Ensuite, le 6 et le 7 novembre de ce mois,
10:51 nous avons décidé de reprendre le Sénat car nous pensions que l'administration est continuée.
10:55 Malgré le décret, nous avons décidé de prendre des décrets pour satisfaire nos demandes.
11:08 Nous avons donc repris le Sénat à deux reprises.
11:11 Mais nous avons aussi empêché les policiers d'accéder à la décision.
11:18 Nous avons donc décidé de ne rien faire tant que l'équipe BES n'a pas été remise en place.
11:24 Donc, nous avons donc repris le Sénat.
11:29 Nous sommes en procédure car nous avons un objectif
11:35 de perdre du temps pour que nous puissions faire une forclusion.
11:41 Nous n'avons pas les moyens de déposer nos dossiers.
11:52 C'est notre objectif et notre stratégie.
11:55 C'est pourquoi, avant le 17 novembre,
12:00 le 23 octobre, nous avons pris une décision
12:05 et l'agent judiciaire de l'Etat nous a donné un pouvoir en cassation.
12:10 Le pouvoir en cassation a été vidé le 17 novembre 2023.
12:15 Malgré le plaidement du juge Usman Diagne,
12:22 nous avons rejeté le pouvoir car nous pensions que le pouvoir ne s'appartient pas à personne.
12:28 Le juge a donc décidé de casser et d'annuler la décision
12:34 du président de l'institut.
12:37 Nous avons fait ceci car le juge a été en charge
12:44 de l'estatut et nous avons rejeté la décision
12:48 car le juge n'a pas pu annoncer la décision
12:52 car la décision n'a pas été annulée par la jurisprudence.
12:57 Le 17 novembre, la décision de l'institut a été annulée
13:06 et le juge a été renvoyé au tribunal d'instance de Dakar.
13:11 Nous avons donc rejeté la décision de l'institut.
13:15 Le 30 novembre, nous avons continué notre procédure
13:20 pour constituer le dossier de candidature d'Usman Songo.
13:23 Nous avons déposé notre chèque
13:28 de 30 millions pour représenter le montant de la question
13:33 et nous avons également accueilli un très bon accueil
13:41 pour servir le café et nous donner notre chèque.
13:46 Nous avons vérifié le chèque et le quai en tant que mandataire
13:53 pour que le candidat de la coalition de partis politiques
13:57 puisse investir et nous donner notre chèque.
14:04 Nous avons également fait un point de presse
14:09 avec le directeur de la communication et du marketing
14:15 de la caisse de dépôt et consignation.
14:18 Nous avons donc eu de bonnes chances.
14:21 J'ai donc demandé à la caisse de dépôt et consignation
14:27 de nous mettre en place un dossier pour que nous puissions retourner le chèque.
14:33 Mais ils n'ont pas répondu.
14:37 Je n'ai pas vu le dossier ni le chèque.
14:39 Je suis donc très content.
14:42 Je suis allé en mission à l'Assemblée nationale
14:46 pour le COP28 au 1er août, je n'étais pas là.
14:51 Je ne sais pas où l'avoir trouvé.
14:53 Mais nous avons été très prudents car dans leur déclaration
14:58 ils ont annoncé qu'ils ne donneront pas d'attestation.
15:03 Dès le 4 décembre, nous avons demandé à Mme Ndéye Ndiaye
15:09 de lui interpeller le directeur général de la caisse de dépôt et consignation
15:15 qui est Cheikh Issa Sale, le préfet de l'Assemblée nationale.
15:20 Il a été interpellé sans attestation.
15:24 Il a été interpellé le 4, le 5 et le 6.
15:31 Il n'a pas été vu et chaque fois, il est venu en réunion.
15:36 Il est venu le 8, il a été interpellé 4 fois.
15:44 Il a été interpellé pour refuser de recevoir le dossier.
15:52 Le directeur général de la caisse de dépôt et consignation ne veut pas d'attestation.
15:56 Il a été interpellé sans recevoir le dossier.
16:02 Il a été interpellé sans attestation.
16:06 Il a été interpellé sans attestation.
16:11 La décision de Ziguenchor, le cour de casse suprême l'a annulée.
16:18 Le tribunal d'instance de Dakar.
16:22 Le 14 décembre 2023, je crois que vous l'avez tous suivi,
16:27 le fonds de soutien a été apporté,
16:30 l'ordonnance du tribunal d'instance hors classe de Dakar
16:34 a été annulée par le juge Ousmane Racine.
16:41 Nous avons donc appelé Ousmane Sonko, le téliste électoral.
16:44 Je crois que vous avez tous suivi cette décision.
16:47 C'est une décision qui doit être immédiatement appliquée.
16:51 Selon l'article 47, 4 du code électoral,
16:56 article 36 et 74 de la loi organique portant création de la cour suprême.
17:00 Le 18 décembre 2023, le juge a notifié l'ordonnance
17:06 et les ministres de l'intérieur, DG, DAF et les avocats.
17:12 Malgré tout, le 19 et le 20 décembre,
17:19 nous avons appelé DG, DAF,
17:23 la caisse de dépôt et consignation,
17:26 tous les services
17:29 ont été bloqués à la maison.
17:33 Ils ont mis des alcatis pour que les gens ne nous laissent pas entrer.
17:38 En tant que mandataire, j'ai interpellé
17:42 mes avocats, Mme Sidi Cléodoli et Mme Guillaume Sagna.
17:47 Nous avons donc appelé les ministres
17:52 pour signifier à la décision
17:58 que le DGE devait donner une fiche de parrainage.
18:04 Il a donc décidé de le faire immédiatement.
18:09 Mais on ne pouvait pas le voir.
18:13 DAF a été appelé immédiatement par Ousmane Sonko
18:18 dans la liste électorale.
18:21 C'est lui le juge.
18:24 On ne pouvait pas le voir, c'est le directeur de l'automatisation du fichier.
18:29 CDC a été appelé à déposer une attestation
18:33 car il avait déposé une question en bonne et due forme.
18:37 Il a donc été attesté.
18:40 Cheikh Issassal, le directeur général de la caisse de dépôt et consignation
18:45 a été bloqué à la maison avec des alcatis pour que les gens ne nous laissent pas entrer.
18:50 On a donc appelé les services publics et les administrations pour savoir où on était.
18:55 On n'a pas pu leur donner leur version.
19:01 On ne savait pas où on était.
19:03 Maintenant, on voit que
19:08 les autorités, notamment le ministre de l'Intérieur
19:13 le DGE, DAF, caisse de dépôt et consignation
19:20 ont persisté sur le banditisme administratif.
19:24 Ils ont persisté sur le refus d'appliquer la décision de justice.
19:29 Ils ont aussi persisté sur le fait que Houssmane Sonko a été arrêté.
19:35 Ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour
19:43 que les syndicats et les terrangas
19:47 puissent exécuter, appliquer la décision de justice, les codes électoraux et les constitutions.
19:54 Mais ils ont refusé de participer à la rébellion et au banditisme administratif.
20:00 Ils ont été encore en train de faire des efforts pour la légalité.
20:04 Ils ne sont plus dans le droit.
20:07 Les ministres de l'Intérieur et de la Justice ont créé des problèmes.
20:14 Ils ont fait des choses qui ne sont pas des affaires étrangères.
20:23 Ils ont fait des choses qui ne sont pas des affaires étrangères.
20:30 Ils sont des avocats et ils savent qu'ils ne sont pas dans le droit.
20:35 Ils sont des avocats et ils savent qu'ils ne sont pas dans le droit.
20:40 Ils ont fait des efforts pour que les fonctionnaires et l'administration
20:47 puissent exécuter.
20:51 Mais ils ont été commandités par Macky Salle et son candidat Amadou
20:58 pour devenir ministre et pour gouverner.
21:00 Ils ont fait des choses qui ne sont pas des affaires étrangères.
21:07 Ils ont tardé à déposer leur dossier de candidature au conseil.
21:13 Au lieu d'avoir des policiers qui leur donneraient des instructions
21:23 les ministres de l'Intérieur ont fait ça directement.
21:28 Le mandataire est un avocat et le hussier un avocat.
21:32 Malgré tout, nous avons des quarts professionnels en tant que députés.
21:35 Le hussier est officier ministériel et le avocat doit accéder à tous les services.
21:41 Malheureusement, pour eux,
21:46 ce qu'ils nous ont donné comme objectif est un mandat
21:52 car notre dossier a été déposé en bonne et due forme au conseil constitutionnel.
21:58 Je vous remercie de ce fait.
22:05 Je vous remercie aussi de ce fait.
22:08 C'est un vrai déposé au conseil constitutionnel.
22:14 Merci.
22:15 C'est un vrai déposé.
22:21 Voici le récipice de dépôt de déclaration de candidature.
22:27 C'est clair.
22:29 Ensuite, nous avons une convocation pour tirage au sort le 28 décembre.
22:37 Je pense que c'est clair.
22:40 Car le dossier est une déclaration de candidature.
22:46 Il est un dossier accompagné d'articles L57, L121 et L122 du code électoral.
22:54 Nous avons déposé 9 pièces.
22:59 Nous avons aussi déposé notre parrainage et notre attestation.
23:09 Depuis le 29 septembre 2023, le CSA a constaté
23:17 que nous avons fait tout ce qu'il fallait pour les pièces.
23:23 Mais nous sommes dans du banditisme administratif.
23:27 Nous avons fait des choses de notre propre façon.
23:34 Je crois que le conseil constitutionnel a dit en 1998
23:40 qu'il y a une jurisprudence de 105.
23:43 Il a dit qu'il y a une responsabilité d'administration
23:48 pour les citoyens qui font tout ce qu'il faut pour les pièces.
23:57 Il a fait tout ça pour prouver qu'il ne peut pas être reproché
24:02 par le banditisme ou la carence d'administration.
24:05 Il a également dit qu'il a déposé ses décisions en tant que groupe parlementaire
24:11 au niveau du conseil constitutionnel le 14 décembre 2023.
24:16 Il a dit qu'il avait déposé ses décisions contre la loi de finances
24:22 et qu'il avait donné une valeur à ce constat pour prouver
24:27 qu'il a été fait par l'administration.
24:30 Donc, il y a une carence, un défaut de l'administration
24:34 et un déni de droit de l'administration.
24:37 Il est donc impossible de le reprocher aux citoyens.
24:40 Je veux donc remercier les sénégalais
24:46 pour leur dire que le conseil constitutionnel a le droit
24:51 de faire un dossier de candidature à Ousmane Sonko et d'autres.
24:55 Il y a des gens qui ont été usurpés par le ministère de l'Intérieur
24:59 à travers ses services DG et DAF, la caisse de dépôt et de consignation.
25:04 Ils ont usurpé les prérogatives du conseil constitutionnel
25:10 pour faire de soi-même le juge de la recevabilité des candidatures.
25:14 Ce n'est pas le cas pour DG, DAF, le ministère de l'Intérieur
25:19 ni la caisse de dépôt et consignation.
25:22 Ils ont juste donné une délégation de pouvoir au code électoral
25:26 et c'est là qu'on doit être.
25:28 Mais il faut le faire pour la politique politicienne.
25:34 On ne peut pas laisser Ousmane Sonko se faire dérouler
25:39 à midi pour son candidat à Moudouba.
25:42 Il faut qu'il soit en deuxième tour, il ne faut pas que ça se termine en premier.
25:46 C'est ce que nous voulons tous les sénégalais.
25:51 Je suis interpellé en tant que président de la commission de délégation
25:55 car notre commission est chargée du suivi et du contrôle de l'application des lois.
26:00 Je suis également membre du comité sénégalais des droits de l'homme.
26:05 Je représente l'assemblée au niveau du comité.
26:08 Au-delà de mon appartenance partisane,
26:12 en tant que représentant du peuple et membre du comité,
26:16 quand des libertés fondamentales, quand des droits fondamentaux
26:20 sont bafoués et violés, je suis interpellé.
26:23 Et ici, il s'agit d'une liberté fondamentale
26:27 car il y a le principe constitutionnel de l'accès de tous les citoyens
26:31 sans discrimination à l'exercice du pouvoir à tous les niveaux.
26:36 La liberté d'électeur et d'être éligible est un droit fondamental.
26:42 Mais depuis le 29 septembre 2023,
26:46 nous avons assisté à des manipulations administratives
26:49 du droit électoral par des fonctionnaires
26:53 qui ont voulu usurper les prérogatives et responsabilités
26:58 du Conseil constitutionnel qui est le seul juge de la recevabilité
27:02 et de la validité des candidatures.
27:04 Donc je ne serai pas très long pour rappeler juste quelques dates.
27:10 Le vendredi 29 septembre 2023,
27:13 on s'est vu, moi en tant que mandataire
27:16 et mon élu ici, Me Weynegier, opposer un refus
27:20 infondé et non motivé de la part de la direction générale des élections,
27:25 service du ministère de l'Intérieur,
27:27 de nous remettre les fiches de collecte de parrainage
27:29 pour le candidat Ousmane Sonko
27:32 sous le prétexte fallacieux que Ousmane Sonko
27:36 n'est pas électeur, n'est pas sur la liste électorale.
27:39 Alors que l'arrêté du ministre de l'Intérieur
27:43 qui fixe le modèle des fiches de collecte de parrainage
27:46 précise que la délivrance des fiches de parrainage
27:49 n'est pas la reconnaissance d'un quelconque statut
27:52 du candidat à la candidature.
27:55 Et on refuse à Ousmane Sonko ce qu'on avait accordé en 2019
28:01 au président Khalifa Sale et Karim Ouad.
28:04 Donc, sous cette base, nos avocats ont introduit,
28:07 les avocats du candidat Ousmane Sonko,
28:09 les requêtes ont fait d'annulation de la régation
28:12 du président Ousmane Sonko de liste électorale
28:15 et un référé liberté auprès de la Cour suprême.
28:18 Le jeudi 12 octobre 2023,
28:21 le président du tribunal d'instance de Ziegenshor,
28:26 l'honorable juge Sabah Sifei,
28:29 a fait droit à la requête d'Ousmane Sonko
28:33 en annulant la régation de liste électorale
28:35 et en ordonnant sa réintégration sous les listes électorales
28:39 malgré toutes les tentatives d'intimidation
28:42 et toutes, en tout cas, les menaces faites à son encombre,
28:47 notamment par le biais de l'agent judiciaire de l'Etat,
28:50 ce qui a amené d'ailleurs l'union des magistrats du Sénégal
28:53 à faire un communiqué pour dénoncer
28:57 son non-respect de la séparation des pouvoirs.
29:00 Cette décision a été notifiée à toutes les parties
29:03 le 17 octobre.
29:05 Le 19 et le 20 octobre,
29:07 nous nous sommes présentés avec l'huissier
29:10 pour signifier cette décision, cette ordonnance
29:13 au service centraux du ministère de l'Intérieur,
29:16 en l'occurrence, la Direction générale des élections,
29:19 dirigée par M. Tender Lafal,
29:21 la Direction de l'automatisation des fichiers,
29:23 dirigée par M. Fiakir Bagiane
29:26 et également au ministre de l'Intérieur lui-même,
29:29 à la Sénat, à l'agent judiciaire de l'Etat.
29:32 Mais au niveau de la Direction générale des élections et de la DAF,
29:36 on nous a opposé des barricades policières
29:40 qui nous ont empêché d'accéder aux locaux
29:43 en violation de toutes les lois et règlements de ce pays
29:46 et de tous nos droits.
29:48 Le 20 octobre, le même directeur général des élections
29:55 justifiait cette rébellion,
29:58 ce non-respect des décisions de justice
30:01 par le fait qu'il n'y avait pas de décision définitive
30:04 et que l'Etat du Sénégal avait décidé d'exercer les voies de recours
30:08 qui sont fras lui, ce qui est une violation fragrante
30:11 de l'article 47 alinéa 4 du Code électoral
30:13 et de la loi organique portant création de la Cour suprême
30:17 qui limite les recours qui sont suspensifs
30:22 et les recours en matière d'inscription sur les listes électorales,
30:25 notamment les pourvois en cassation, ne font pas partie de ces types de recours.
30:29 Le 22 octobre, le collectif des avocats, Doucement de Sonko,
30:33 a saisi la Commission électorale nationale autonome
30:36 pour demander de faire injonction à la DGE
30:39 de nous remettre nos fiches de parrainage.
30:43 Le 31 octobre, la DGE a persisté dans son refus et sa rébellion
30:50 en refusant de se soumettre à l'injonction de la Sénat.
30:54 Donc la Sénat avait invité la DGE
30:57 à prendre en relation avec tout service concerné
31:00 du ministère chargé des élections les mesures nécessaires
31:04 pour faire tenir à la disposition du mandataire de M. Doucement de Sonko
31:07 et ce, dans le meilleur délai, la fiche de parrainage, la clé USB
31:11 ainsi que tout autre outil de collecte prévu par la loi.
31:13 Donc la DGE a persisté dans son refus
31:16 ainsi que les services du ministère de l'Intérieur.
31:18 Donc le 2 novembre, le collectif des avocats
31:22 a saisi encore la Commission électorale nationale autonome
31:25 pour lui demander d'enjoindre à la DAF
31:28 de réintégrer immédiatement et sans délai Doucement de Sonko
31:30 sur les listes électorales.
31:32 De saisir la DGE et de se substituer à elle
31:35 en délivrant directement les fiches de parrainage à Doucement de Sonko
31:39 et d'informer à toute fin utile le Conseil constitutionnel
31:42 sur la discrimination que subit Doucement de Sonko
31:45 qui aura moins de temps de collecte de parrainage
31:47 que les autres candidats du fait des obstructions illégales
31:49 de la Direction générale des élections.
31:52 Et à notre grande surprise,
31:56 après cette demande requête du 2 novembre,
31:59 le vendredi 3 novembre,
32:01 le président Makissal a pris un décret
32:04 remplaçant tous les 12 membres
32:06 de la Commission électorale nationale autonome
32:09 en violation de la loi portant création de la SENA
32:12 et du protocole additionnel de la CDAO
32:15 sur la démocratie et la bonne gouvernance
32:17 qui dit qu'on ne peut pas réformer substantiellement
32:22 le dispositif électoral
32:25 dans les 6 mois précédant les élections
32:28 sans le consentement d'une large majorité des acteurs politiques.
32:31 Donc cette violation a été dénoncée
32:33 par le collectif des organisations de la société civile
32:36 qui a demandé le retrait de ce décret
32:38 pour non-respect du principe des consultations
32:40 des corps constitués, le choix de personnalité,
32:43 le non-respect du principe du choix de personnalité
32:47 indépendant, neutre et impartial
32:49 et le non-respect du mandat de 6 ans et renouvelable
32:52 par tiers tous les 3 ans.
32:53 Donc un recours en annulation est présentement déposé
32:56 contre ce décret par les candidats,
32:59 les organisations de la société civile
33:01 et les partis politiques de l'opposition.
33:03 Le 6 et le 7 novembre, nous sommes allés à la SENA
33:07 pour rencontrer le président Doudounir
33:09 et lui demander de prendre ses responsabilités
33:12 parce que nous avons jugé à l'époque
33:14 que l'administration est une continuité.
33:16 En attendant la mise en place de la nouvelle équipe,
33:19 il fallait que l'équipe, en tout cas,
33:23 qui gère les affaires courantes, prenne ses responsabilités.
33:27 Malheureusement, le 8 novembre, le président de la SENA
33:30 a répondu qu'il ne pouvait rien faire
33:33 puisqu'il ne se considérait plus comme président de la SENA
33:36 et qu'il fallait attendre que la nouvelle équipe soit installée.
33:39 Nous avons pris malgré tout notre mal en patience.
33:42 Le 17 novembre, il y a eu l'arrêt de la Cour suprême
33:47 qui a cassé et annulé la décision du 12 octobre 2023
33:52 du président du tribunal d'instance de Ziguenchor,
33:55 Saba Syfaye et qui nous a renvoyés devant le tribunal d'instance
33:58 hors classe de Dakar.
34:00 Malgré un réquisitoire de l'avocat général
34:04 Ousmane Diagne à notre faveur
34:06 et qui rappelle un peu le réquisitoire également
34:09 de l'avocat général Marème Diop-Gueye
34:12 dans le procès-jugement en référé
34:14 devant la chambre administrative de la Cour suprême,
34:18 la Cour suprême n'a pas suivi les réquisitoires
34:21 de ses avocats généraux
34:23 et a cassé la décision du juge Saba Syfaye
34:25 en renvoyant au tribunal d'instance de Dakar.
34:29 Le 30 novembre,
34:32 nous nous sommes rendus à la Caisse de dépôt et consignation
34:35 pour déposer notre chèque
34:37 représentant le montant de la caution de 30 millions
34:39 du candidat Ousmane Sonko.
34:41 Nous avons été reçus avec tous les honneurs
34:45 par les services de la Caisse de dépôt et consignation
34:49 qui ont vérifié nos documents
34:51 et nous avons, après avoir encaissé le chèque,
34:54 remis une quittance.
34:56 C'est à notre grande surprise, après notre départ,
34:59 qu'on a été informés par la presse de la volte-face brutale
35:03 en tout cas de la Caisse de dépôt et consignation
35:07 qui ont affirmé qu'ils m'ont retourné le chèque
35:10 par voie d'huissier.
35:12 Ce qui est complètement faux puisque jusqu'au moment
35:15 où je vous parle, je n'ai pas reçu de chèque
35:17 ni vu d'huissier.
35:19 Au contraire, c'est nous qui leur avons envoyé
35:23 le 4, le 5, le 6 et le 8 décembre 2023
35:27 notre huissier, Me Ndiaye,
35:29 pour qu'il nous remette notre attestation
35:32 puisque nous avons considéré que nous avons déposé
35:34 en bonne et due forme un chèque
35:36 et qu'il nous avait remis une quittance
35:38 et devait nous remettre l'attestation.
35:40 Sauf à vouloir violer le code électoral, en tout cas,
35:44 et ce qui a persisté à faire.
35:48 Et nous avons, le huissier, adressé un procès verbal
35:51 de constat interpellatif après avoir constaté
35:54 que le DG Cheikh Issa Assal jouait à cache-cache avec lui
35:58 pendant une semaine.
36:00 Le 14 décembre 2023,
36:03 nous avons obtenu une nouvelle victoire judiciaire
36:08 avec l'ordonnance du président du tribunal d'instance
36:11 hors classe de Dakar, Ousmane Racine Tchon,
36:14 qui a annulé à nouveau la radiation d'Ousmane Sonko
36:17 qui ne tenait sur rien du tout,
36:19 et a ordonné sa réintégration immédiate
36:22 dans la liste électorale.
36:24 Il a notifié cette décision le 18 décembre 2023
36:29 à toutes les parties,
36:30 et nous, le 19 et le 20 décembre,
36:32 on s'est rendus dans les différentes administrations
36:35 au niveau du ministère de l'Intérieur,
36:36 au niveau de la DGE, au niveau de la DAF,
36:40 au niveau de la Caisse de dépôt et consignation,
36:42 au niveau de la Commission électorale nationale autonome
36:44 pour leur signifier cette décision
36:47 et leur demander de prendre sans délai
36:50 les actes qu'il fallait,
36:51 c'est-à-dire pour la DGE de remettre les fiches de parrainage,
36:54 pour la DAF de réintégrer Ousmane Sonko
36:56 dans la liste électorale,
36:58 pour le ministère de l'Intérieur
37:00 d'ordonner à ses services d'exécuter la décision de justice,
37:03 pour la Commission électorale nationale autonome
37:06 qui avait déjà servi une injonction à la DGE
37:09 et à qui on avait transmis une requête pour se substituer
37:13 de prendre également ses responsabilités,
37:17 mais nous avons constaté,
37:19 au niveau des services du ministère de l'Intérieur
37:21 et de la Caisse de dépôt et consignation,
37:23 qu'il persistait dans le banditisme administratif,
37:26 les voies de fait, la forfaiture,
37:28 ce qui sont des délits qui sont réprimés et punis
37:32 par le Code pénal à l'article 106.
37:35 Et d'ailleurs, je vous rappelle qu'on avait même servi
37:37 une citation directe à l'époque
37:39 au directeur général des élections,
37:40 qu'il avait refusé, en tout cas, il s'était dérobé,
37:43 comme à son habitude,
37:44 en refusant de recevoir cette citation directe-là,
37:47 puisqu'ils savent, eux tous,
37:49 que ce soit le ministre de l'Intérieur, qui est un avocat,
37:52 que ce soit le ministre de la Justice,
37:55 la garde des Sceaux, qui est également une avocate,
37:58 que leurs prédécesseurs ont commis de graves bourdes
38:01 en radiant Ousmane Sonko des listes électorales,
38:04 en refusant de lui remettre les fiches de parrainage.
38:08 Donc, sur la compte du masque, tout le monde sait maintenant
38:11 que, malgré le fait que Ismail Madihor Fall
38:15 soit un brillant constitutionaliste,
38:17 mais comme on dit, "Tout ce qui brille n'est pas de l'ordre",
38:20 il est un piètre juriste en matière pénale.
38:23 Il s'est complètement gouré.
38:25 Donc, ce sont eux qui sont en train de supporter
38:28 les inconséquences et les incohérences
38:33 de leurs prédécesseurs.
38:34 Et ils refusent même de se prononcer,
38:36 mais malgré tout, ce sont eux qui donnent le directive
38:40 à ces hauts fonctionnaires qui sont en train de les appliquer
38:44 sans aucune base légale ni aucun fondement.
38:47 Donc, au vu de tout cela,
38:50 vous avez constaté avec nous que cette administration,
38:54 le ministère de l'Intérieur et son administration,
38:56 la caisse de dépôts et de consignations,
38:59 aidés en cela, soutenus en cela par de hautes autorités,
39:02 notamment le président de la République
39:04 qui a eu à prendre un décret remplaçant tous les membres de la Sénat,
39:08 le premier ministre qui est lui-même intéressé
39:10 puisqu'il est lui-même candidat,
39:13 puisque c'est le premier qui a à gagner
39:16 à ce que Ousmane Sonko soit écarté de la compétition
39:19 puisqu'il pense que si Ousmane Sonko participe,
39:21 il n'a aucune chance
39:23 et en tout cas, ce sera plié à midi au premier tour.
39:28 Donc, ils usent de tous les subterfuges et magnigances
39:33 pour écarter Ousmane Sonko.
39:35 Étant donné qu'ils étaient dans une manoeuvre directoire
39:37 visant à nous amener vers la forclusion
39:40 et en empêchant qu'on puisse déposer notre dossier
39:43 de déclaration de candidature au niveau du Conseil consulat.
39:46 Mais vous avez tous constaté que tous ces efforts,
39:51 toute cette armada, tous ces moyens financiers,
39:55 ces milliards qu'ils ont dépensés en frais d'honoraire d'avocats,
40:00 le budget de l'Agence judiciaire de l'Etat a été délapidé
40:03 pratiquement dans cette affaire-là,
40:05 puisqu'ils n'ont pas réussi, en tout cas à 2 mois des élections,
40:08 à obtenir le gain de cause
40:09 puisque Ousmane Sonko a pu déposer son dossier de candidature
40:14 et il a été pratiquement le premier à déposer son dossier de candidature
40:17 au niveau du Conseil consulat.
40:19 Avec sa déclaration de candidature,
40:22 avec les 9 pièces exigées par l'article 121 du Code électoral
40:27 et en se conformant, bien sûr,
40:30 à l'article 28 et 29 de la Constitution.
40:33 Ce qui veut dire qu'ils ont fait encore...
40:36 Ils ont encore lamentablement échoué
40:39 dans leurs manoeuvres et leurs tentatives dilatoires.
40:42 Et qu'ils restent au Conseil constitutionnel
40:46 en tant que seul juge de la recevabilité
40:48 et de la validité des candidatures à lire le droit
40:51 et seulement le droit en validant la candidature d'Ousmane Sonko
40:57 puisqu'il juge de tous ses droits civils et politiques.
41:00 Au moment où on parle, il est électeur et éligible,
41:03 il est sénégalais, il remplit toutes les conditions pour être candidat
41:07 et il est soutenu par une large majorité du peuple sénégalais.
41:11 Donc, il doit être candidat et le Conseil constitutionnel, en tout cas,
41:14 a toutes les pièces en main,
41:17 a toutes les preuves irréfutables
41:20 qui ont été constatées par voie du sien
41:22 et s'il se conforme à sa jurisprudence,
41:25 notamment depuis 98, dans l'affaire 105-A,
41:28 le Conseil constitutionnel ne manquera pas
41:31 de valider la candidature d'Ousmane Sonko.
41:34 Donc, ce que j'avais à dire en vous remerciant de votre aimable attention.
41:38 - Merci. - Toutes pièces.
41:41 On a également... On est convoqué également au tirage au sort,
41:45 comme tous les candidats, pour, en tout cas, le contrôle des parrainages.
41:50 Donc, c'est ce que j'avais à dire. Je vous remercie de votre aimable attention.
41:55 Merci.
41:56 (...)